Lorsque l'épidémie de COVID-19 a été annoncée à la télé, il y a eu des commentaires et des réactions éloquentes sur le "projet pandémique".
1 - Les Chinois étaient considérés comme les plus gros pollueurs de la planète. Cette pandémie tombait à point comme on dit. Il leur a fallu confiner d'urgence leur population et cesser un certain nombre de productions, mettre leurs usines à l'arrêt ; alors soudain les indicateurs de pollution du pays sont passés du rouge au vert, et là les écolos étaient contents.
Mais il a fallu reprendre la production parce que ce sont eux qui alimentent la planète en toutes sortes de biens de consommation courante et de pièces détachées utiles aux fabricants du monde entier.
La propagande officielle a accusé les Chinois de faire n'importe quoi, de bouffer du pangolin et d'infecter ainsi le reste du monde. Quelle honte pour les médias d'avoir soutenu mordicus cette version mensongère et stigmatisante.
Une information sérieuse avait pourtant été divulguer de façon éphémère : la France avait ouvert un laboratoire de recherche sur les virus, en Chine, à Wuhan ; des chercheurs français y travaillaient avec des collègues chinois à étudier les virus d'animaux sauvages qui, après manipulation génétique, pourraient devenir transmissibles à l'homme ; ils s'intéressaient particulièrement à la chauve-souris qui était porteuse d'un virus ressemblant au sras provoquant de graves probèmes respiratoires et mortel comme l'anthrax.
Notre Ministre de la santé de l'époque, Agnès Buzyn était apparue à la télé les larmes aux yeux, disant "il s'est passé quelque chose de grave" et a été sommée de se taire. Elle savait sûrement ce qu'il s'était passé précisément car son mari faisait partie de l'équipe française en Chine et venait de rentrer précipitemment en France avec ses collègues.
Les Chinois voyageant dans le monde entier pour affaires avaient été choisis comme moyen d'infestation, de diffusion du virus.
2 - Les Chinois sont présents en Afrique ; les médias se sont inquiétés de voir le peu d'impact du virus sur les populations africaines... et dans d'autres pays considérés comme surpeuplés..
l'Inde, l'Afrique du Sud, le Brésil... d'où l'émergence de "variants" du COVID-19 dans ces différents pays... hébergeant eux-mêmes des laboratoires.
Le second départ de contamination annoncé était l'Iran, où justement se trouve un laboratoire dans lequel travaillait au moins une scientifique française qui a été arrêtée par les autorités pour "espionnage" et rapatriée illico en France grâce aux efforts et interventions bruyantes de Macron.
3 - Vous apprenez que les labos qui manipulent les virus échangent toutes sortes de substances et de germes sans précaution particulières, "perdent" des virus qui se baladent dans les bagages de terroristes en Europe et ailleurs. J'ai publié sur ce blog les cas de ces laboratoires dangereux : l'Institut Pasteur, les laboratoires des armées anglaise et américaine (et leurs implantations étrangères) et sans doute d'autres pas encore identifiés.
4 - Un certain dogme écologiste qui prône la décroissance : limitation de la production, réutilisation, reconditionnement des produits pour éviter le gaspillage d'une part, et... réduction de la population jugée trop nombreuse pour limiter la misère et l'impact social du point de vue de la gestion macro-économique.. d'où le projet de certains groupuscules de détruire les populations pauvres ou vulnérables par tous les moyens.
"Une vingtaine de scientifiques publient une lettre appelant à considérer sérieusement l’hypothèse d’un accident de laboratoire comme source de la pandémie."
L’hypothèse d’un accident de laboratoire comme origine possible de la pandémie de Covid-19 n’est ni majoritaire ni la plus probable, mais elle n’est pas une théorie complotiste : dans une correspondance publiée jeudi 13 mai par la revue Science, une vingtaine de scientifiques de haut niveau appellent à examiner cette possibilité au même titre que celle du « débordement zoonotique » naturel. Ce bref article ne pouvait mieux tomber. Quelques heures avant sa publication, trois travaux universitaires (une thèse de doctorat et deux mémoires de master) menés ces dernières années à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient divulgués sur Twitter, par le compte d’un scientifique anonyme, coutumier des révélations fracassantes.
Rédigés en chinois, les trois mémoires, respectivement soutenus en 2014, 2017 et 2019, n’ont jusqu’à présent jamais été rendus publics ; ils contiennent des informations d’importance. Selon des spécialistes consultés par
Le Monde, ils remettent en cause certaines données tenues pour acquises par la communauté scientifique internationale sur le nombre et la nature des coronavirus conservés par le WIV, sur les expériences conduites sur ces virus et même sur l’intégrité des séquences génétiques virales publiées ces derniers mois par l’institution de recherche de Wuhan.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/14/origines-du-covid-19-la-divulgation-de-travaux-inedits-menes-depuis-2014-a-l-institut-de-virologie-de-wuhan-alimente-le-trouble_6080154_3244.html#Echobox=1620972010
"Facebook supprimera désormais toute une série d’affirmations mensongères sur le Covid-19 et la vaccination, comme les messages affirmant que le coronavirus « est produit en usine ou fabriqué par l’homme »."
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/02/08/facebook-durcit-ses-regles-de-moderation-contre-les-intox-sur-la-vaccination_6069229_4408996.html#Echobox=1612851254
"[#Enquête] Situé dans la ville point de départ de l’épidémie, le laboratoire de haute sécurité (P4) de l’institut de virologie de Wuhan a été conçu par la France en dépit des objections de l’administration française."
https://www.mediapart.fr/journal/international/280520/la-folle-histoire-du-laboratoire-p4-de-wuhan
"Ce 23 septembre 2019, au premier rang, Shi Zhengli écoute religieusement le discours inaugural de Gérard Collomb, alors maire de Lyon, sous les dorures et les lustres du salon Justin-Godart de l'hôtel de ville. La chasseuse de virus de l'Institut de virologie de Wuhan, en Chine, est venue participer au forum « Confluences franco-chinoises 2019 », partenariat lyonnais avec la fondation sinophile de Jean-Pierre Raffarin. Le nouvel ambassadeur de la République populaire en France, Lu Shaye, et l'industriel de la biologie Alain Mérieux défilent à la tribune. Spécialiste mondiale des coronavirus, Shi Zhengli va donner une conférence consacrée à la coopération scientifique franco-chinoise sur les maladies infectieuses émergentes, le grand projet de Jacques Chirac, qui a fait construire à Wuh..."
https://www.lepoint.fr/monde/origine-du-covid-le-tabou-francais-09-09-2021-2442395_24.php#11
Voici un petit texte qui laisse à réfléchir dans le contexte actuel :
Jacques Attali, 1981, alors conseiller de François Mitterrand écrivait ceci :
"À l'avenir il s'agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu'il dépasse 60-65 ans l'homme vit plus longtemps qu'il ne produit et il coûte cher à la société.
Ensuite les faibles puis les inutiles qui n'apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides. Une euthanasie ciblant ces groupes ; l'euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure.
On ne pourra bien sûr pas exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c'est pour leur bien.
La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c'est quelque chose d'économiquement trop coûteux. Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s'arrête brutalement plutôt qu'elle ne se détériore progressivement.
On ne pourra pas non plus faire passer des tests d'intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien !
Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d'avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution.
La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d'eux-mêmes à l'abattoir."
[ L'avenir de la vie - Jacques Attali, 1981 ]
Entretiens avec Michel Salomon, collection Les Visages de l'avenir, éditions Seghers.
NB : C'est un projet eugéniste de cette théorie macabre répandue dans les pays du Nord, partiellement reprise et mise en œuvre par les nazis.
Enquête sur l'épidémie du coronavirus
France Culture : Page introuvable 😁
https://www.franceculture.fr/sciences/le…
Le laboratoire P4 de Wuhan : une histoire française
17/04/2020 (MIS À JOUR À 12:01)
Par Philippe Reltien et Cellule investigation de Radio France
Enquête |Voulu et construit avec l’aide de la France, le très sensible laboratoire de virologie P4 de Wuhan, qui fait aujourd’hui l’objet de beaucoup de spéculations, a peu à peu échappé au contrôle des scientifiques français. Selon nos informations, un vaccin contre le Covid-19 y a récemment été testé.
A l'intérieur du laboratoire P4 de Wuhan en février 2017.
A l'intérieur du laboratoire P4 de Wuhan en février 2017.• Crédits : Johannes Eisele - AFP
Avec ses 11 millions d'habitants, on dit de Wuhan que c’est la plus française des villes de Chine. On y trouve un musée de l'urbanisme français et une gare TGV dont le toit évoque un oiseau migrateur. Anne-Isabelle Sigros, qui était cheffe de chantier pour l'agence d’architecture AREP, s’en souvient : "On était dans des marais et des champs. On a planté la gare là, et aujourd’hui la ville l’a rejointe." Sur la rive Nord, on trouve encore des traces de la concession française, non loin du désormais célèbre marché couvert aux poissons de Huanan. Sur l’autre rive, les avenues rectilignes, qui filent vers l'aéroport, aboutissent à une zone industrielle où prospèrent une centaine d'entreprises françaises, parmi lesquelles Peugeot-Dongfeng, Renault, Eurocopter, Schneider Electric, L'Oréal ou encore Pernod-Ricard...
Une coopération prometteuse
Dans les années 2000, la coopération franco-chinoise à Wuhan se poursuit dans le domaine médical. En 2003, le SRAS, le syndrome respiratoire aigu sévère frappe la Chine. Le pays a besoin d’aide. Le président Jiang Zemin, dont le mandat s'achève, est un ami du Docteur Chen Zhu. Ce Shanghaïen francophile a été formé à l'hôpital Saint-Louis, dans les services d’un proche de Jacques Chirac, le professeur Degos. Lorsque Hu Jintao succède à Jiang Zemin, Jean-Pierre Raffarin va rencontrer le médecin. Puis, en octobre 2004, lors d'un voyage à Pékin, Jacques Chirac scelle une alliance avec son homologue chinois.
L’idée du P4 prend forme
De là va naître l’idée de construire à Wuhan, en collaboration avec la France, un laboratoire de type P4. Autrement dit, de très haute sécurité biologique pour l'étude de virus pathogènes inconnus pour lesquels on n'a pas de vaccin. Il existe une trentaine de ces structures dans le monde, dont certaines sont labellisées par l'Organisation Mondiale de la Santé. Mais le projet provoque des résistances. D’abord, des experts français en guerre bactériologiques se montrent réticents. Nous sommes dans l’après 11 septembre. Le SGDSN (Secrétariat général à la défense et à la sécurité nationale) redoute qu’un P4 puisse se transformer en arsenal biologique.
A cela s’ajoute un autre grief de la part de la France. La Chine refuse de lui préciser ce que sont devenus les laboratoires mobiles de biologie P3 qui avaient été financés par le gouvernement Raffarin après l'épidémie de SRAS. "Les Français ont été un peu refroidis par le manque de transparence des Chinois", explique Antoine Izambard, auteur du livre Les liaisons dangereuses. "Leurs explications sont restées opaques sur l'utilisation qu'ils pouvaient faire de ces P3. Certains dans l'administration française pensaient donc que la Chine ferait sûrement un usage similaire du P4. Cela suscitait énormément de craintes."
Mais peu à peu, ces réserves vont être levées. Et en 2004, un accord signé par Michel Barnier, ministre des Affaires étrangères de Jacques Chirac, lance le projet du P4 chinois. Il reste à trouver un lieu. Puisque Shanghai est trop peuplée, ce laboratoire sera installé en périphérie de Wuhan. En 2008, un comité de pilotage est créé. Il sera dirigé par un Français, le Lyonnais Alain Mérieux et le docteur Chen Zhu. En 2010, l'administration Sarkozy annonce à l'OMS que les travaux commencent.
Une quinzaine de PME françaises très spécialisées prêtent alors leur concours pour construire le laboratoire. "Ces labos P4, c'est vraiment de la technologie de top niveau, comparables à celle des sous-marins nucléaires français pour ce qui est de l'étanchéité de certaines pièces", précise encore Antoine Izambard. Mais ce seront des entreprises chinoises qui assureront l’essentiel de la construction, ce qui n’est pas toujours du goût des Français. Technip par exemple, refusera de certifier le bâtiment.
Le 31 janvier 2015, le chantier se termine enfin. Dans son livre, Antoine Izambard décrit un endroit austère. "Au bout d’une route à 6 voies" écrit-il, on trouve "un immense immeuble en briques rouges en construction, (destiné à accueillir 250 chercheurs en résidence), un autre hautement sécurisé que l'on prendrait pour une prison (un bunker de 4 étages avec 4 labos étanches), et un dernier blanc et rectangulaire sur lequel est écrit "Wuhan Institute of Virology".
En 2015, Alain Mérieux quitte la coprésidence de la Commission mixte qui supervisait le projet. A l’époque, il raconte au micro de Radio France à Pékin : "J'abandonne la coprésidence du P4 qui est un outil très chinois. Il leur appartient, même s’il a été développé avec l’assistance technique de la France." Mais il ne s’agit pas pour autant de couper tous liens. "Entre le P4 de Lyon et le P4 de Wuhan" précise-t-il, "nous voulons établir une coopération étroite. En Chine, il y a beaucoup d'animaux, l'aviculture, les problèmes de cochons, qui eux-mêmes sont des transporteurs de virus. Il est impensable que la Chine n'ait pas un laboratoire de haute sécurité pour isoler des germes nouveaux dont beaucoup sont d'étiologie inconnue."
Le 23 février 2017, l'ex Premier ministre Bernard Cazeneuve et la ministre de la Santé Marisol Touraine annoncent que 50 chercheurs français viendront en résidence au P4 de Wuhan pendant cinq ans. La France s’engage alors à lui apporter une expertise technique, ainsi que des formations pour améliorer le niveau de biosécurité du laboratoire, et à lancer un programme de recherche commun. Mais les chercheurs français ne viendront jamais.
Quoi qu’il en soit, la mise en exploitation du labo a lieu en janvier 2018. Elle coïncide avec la première visite d'Etat d’Emmanuel Macron à Pékin.
Mais dès le début un doute s’installe sur sa fiabilité. Selon le Washington Post, en janvier 2018, des membres de l’ambassade américaine visitent les locaux et alertent Washington de l’insuffisance des mesures de sécurité prises dans un lieu où l’on étudie les coronavirus issus de chauves-souris.
En temps normal, il n'y a que quelques chercheurs chinois de l’Institut de virologie de Wuhan qui mènent des recherches sur des animaux en lien avec trois maladies, Ebola, la fièvre hémorragique Congo Crimée, et le NIPAH" (un virus véhiculé par les porcs et les chauves-souris).
En 2019, le Président chinois Xi Jinping demande à l'un des vice-présidents du comité permanent de l'Assemblée populaire, d’imaginer ce que pourrait être un bouclier sanitaire pour la province du Yunnan. Là-bas, de nombreux hommes côtoient les animaux sauvages. De cette promiscuité naît un risque d’apparition de nouveaux virus transmissibles à l’homme. "C'est un grand pays qui a pas mal bouleversé ses écosystèmes avec cultures et élevages gigantesques" confirme Gilles Salvat, docteur vétérinaire et directeur général de la recherche à l'ANSES. "C'est vrai que c'est une source de virus à cause des interactions animaux sauvages et domestiques sur un pays continent avec tous les climats."
Créer un centre de surveillance sur la grande région pourrait donc permettre de prévenir le développement de nouveaux virus, de type coronavirus par exemple. Une fois de plus, c'est le Docteur Chen Zhu qui porte ce projet. Il en parle à son ami Alain Mérieux. Ce dernier l’évoque avec Philippe Etienne qui est alors conseiller diplomatique du Président Macron. Selon un média chinois en ligne, China-info.com, un projet prend forme. Il consiste à créer un réseau sentinelle qui réunirait les Instituts Pasteur France, avec des antennes de la fondation Mérieux au Laos, au Cambodge, et au Bangladesh.
En novembre 2019, la peste porcine est arrivée en France, et les éleveurs font pression pour pouvoir continuer à exporter en Chine. Le bouclier sanitaire sera donc remisé à plus tard…
Le P4 de Wuhan ne sera cependant pas resté inactif lors de l’apparition du Covid-19. C’est là que, selon deux sources fiables, bien que non confirmées par les autorités chinoises, à la fin décembre 2019, le professeur Shi Zhengli a identifié le nouveau coronavirus à partir d’échantillons prélevés sur cinq malades des hôpitaux municipaux de Wuhan. Le 3 janvier, le séquençage complet de son génome commence dans un autre laboratoire, le P3 de la Clinique Centrale de santé publique de Shanghai, qui le partagera ensuite avec d’autres pays. Dans le même temps, le P4 de Wuhan travaille sur un singe cobaye infecté, dans le but d’obtenir un sérum. "_Ils ont des étudiants dans le monde entier. Ils ont 40 chercheurs sur un sujet quand nous on en a deux. Leur puissance de feu est redoutable en matière d'innovation et de biologie" estime Gilles Salvat.
Officiellement, le P4 ferme le 23 janvier, lorsque le confinement est prononcé à Wuhan. Mais selon plusieurs sources françaises et chinoises contactées par la cellule investigation de Radio France, à la mi-mars, un essai de vaccin a eu lieu en partenariat avec une société de biotechnologie chinoise. Selon nos informations, un virus a d’abord été inoculé à des singes, avant d’être inactivé puis injecté à des personnels volontaires de l’institut dont dépend le laboratoire. "Les premiers inoculés sont des volontaires et ça s'est bien passé" nous a confirmé le Docteur Zhao Yan qui codirige l'Hôpital Zhongnan de Wuhan : "Il y a des médecins qui participent. Je sais qu'il y a eu une première série d'un petit nombre, et une deuxième série d'essai est en cours sur un nombre relativement important". Selon Frédéric Tangy de l’institut Pasteur, cependant, pour ce type de vaccin à virus inactivé, "Il y a un risque d'exacerbation de la maladie. C’est une catastrophe. C’est la pire des choses à faire."
Le P4 est donc engagé dans une course au vaccin, tout comme le sont d’autres pays. Le 16 mars, la société américaine Moderna de Cambridge, dirigée par le Français Stéphane Bancel, annonce elle aussi qu’elle a commencé un essai clinique à Seattle sur 45 patients sains. Sanofi travaille également avec une équipe militaire américaine. Quant à l’institut Pasteur, il doit démarrer en juillet un essai clinique sur des volontaires avec un vaccin dérivé de celui de la rougeole. Mais là encore, la prudence doit rester de mise, puisqu’il faut trois phases d'essais concluants, avec un pourcentage important de guérisons sur plus de 60 à 70% de patients d’origine et d’âges différents, avant d’approuver un vaccin.
https://www.franceculture.fr/sciences/le…
"Le médecin Yves Levy, époux de la ministre Agnès Buzyn à bien inauguré le labo p4 en 2017 à wuhan en compagnie de Cazeneuve et Touraine !
N'en déplaise aux médias qui font du lavage de cerveau en parlant de fake news voici une photo officielle ainsi que le lien du consulat ..."
https://cn.ambafrance.org/Voyage-officiel-du-Premier-Ministre-en-Chine-visite-du
Affaire de l'ordinateur portable d'Hunter Biden arrivé entre les mains de la police et de la justice américaines :
Le contenu de la messagerie d'Hunter Biden montre qu'il "a aidé à obtenir des millions de dollars de financement pour Metabiota, un entrepreneur du ministère de la Défense spécialisé dans la recherche sur les maladies à l’origine de pandémies qui pourraient être utilisées comme armes biologiques. »"
Metabiota voulait exploiter les animaux d'élevage d'une zone rurale d'Ukraine, étudier leurs virus et leur transmissibilité à l'homme, étudier la contamination pour vendre ensuite son expertise sur le marché international.
"Autre détail à noter, Metabiota a également entretenu des liens étroits avec le Wuhan Institute of Virology (WIV), soupçonné d’être à l’origine de la pandémie de Covid-19. Les chercheurs de l’institut de Wuhan, de Metabiota et d’EcoHealth Alliance ont publié ensemble en 2014 une étude sur les maladies infectieuses des chauves-souris en Chine, qui indique que des tests ont été effectués au WIV"
Article Breizh-info.
Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2. Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.
"J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible."
https://strategika.fr/2022/01/03/le-cdc-admet-que-la-pandemie-de-covid-etait-le-produit-dun-test-inapproprie/