"Ukraine - BRIGADE SVOBODA, PARTI NATIONAL-SOCIALISTE D’UKRAINE, MAFIA ET RACKETS
"La brigade Svoboda fut d’abord un bataillon qui fut formé dans le cadre d’une brigade de la Grade Nationale levée pour la défense de la capitale (février-avril 2022). Un premier bataillon fut formé exclusivement de cadres et militants du Parti National-Socialiste d’Ukraine, Svoboda, parti néonazi et de l’extrême-droite fasciste, comprenant également l’idéologie bandériste et antisémite"
"Un marketing vînt remplacer les croix celtiques et autres symboliques trop visibles, mais qui restèrent souvent sur les patchs des combattants : croix gammées, wolfsangel SS, Soleil Noir, drapeaux ou couleurs de l’UPA (noir et rouge), etc."
"Nuland déclara à l’époque que les USA avaient dépensés 5 milliards de dollars pour provoquer et faire aboutir le Maïdan (hiver 2013-2014). Le bataillon puis brigade furent engagés dans les combats les plus violents du front, à Roubjenoe, Lissichansk, Severodonetsk et Artemovsk/Bakhmut. Il se trouvait également dans la zone d’Irpen et Boutcha où de nombreux crimes de guerre et massacres furent commis contre les prisonniers russes ou contre les populations civiles des Russes ethniques"
"Au moins deux politiques, rompus à l’exercice de la propagande ne font que cela et inonde les réseaux sociaux (dont Nazarenko et Lissenko), la brigade ayant même un Telegram très actif. On y voit tout un réseau arrière de bandéristes souriants." "Il faut dire que le salut hitlérien pratiqué autrefois dans le parti, a été remplacé par le « Salut Svoboda », les trois doigts du milieu levés et écartés"
"des néonazis en particuliers allemands, français et britanniques sont présents dans l’unité."
"Mikhaïlo Boudiliv fut mêlé au système d’extorsions et de rackets de grands constructeurs dans le bâtiment, d’entrepreneurs et d’entreprises (2017-2020). C’est ainsi que fut attaqué un chantier de la Tsentroboudservice (10 avril 2017), par des militants néonazis et anciens des bataillons de représailles Aïdar et Donbass. Les ouvriers furent chassés, le chantier en partie saccagé. (...) usant de sa position de conseiller municipal. Les papiers et documents officiels présentés aux néonazis furent rejetés avec dédain. Sa bande contestait la légalité du chantier, mais en réalité elle était ici sur des ordres (voir la fiche de Nazarenko), afin de collecter le fruit de rackets, pots de vins, impôts mafieux illégaux, ou paiement en contrepartie d’une protection. Il ne fut jamais inquiété profitant de son immunité parlementaire."
"Irina Farion (1964-), néonazie réputée pour sa haine farouche des Russes, envoya une lettre publique à la police politique d’Ukraine, le SBU, en déclarant que les 148 députés ukrainiens qui avaient acquiescé publiquement que les massacres de Volhynie par les Ukrainiens devait être reconnu comme un génocide du peuple Polonais, fussent déclarés « traîtres à la Nation ukrainienne », pourchassés, jugés et emprisonnés (juin 2013), mais le SBU répliqua qu’aucune trahison n’avait été constatée." Elle demanda "que des persécutions religieuses soient lancées dans tout le pays et faire la chasse à ces prêtres (orthodoxes), "se réjouissant également du massacre qui avait eu lieu à Odessa le 2 mai 2014." "Elle a été longtemps une sorte de marraine de guerre du bataillon néonazi Carpatian Sich."
"lors de la rencontre historique entre le sénateur américain John McCain et Oleg Tyagnibok, apportant également de l’argent pour financer les compagnies d’autodéfense du Maïdan. Gentiment, il fut signalé à l’époque par le Guardian : « le sénateur américain au centre, avec le sénateur américain Chris Murphy du Connecticut, ainsi que le chef de l’opposition Oleg Tyagnibok l’entourent durant un meeting pro-européen sur la place de l’indépendance à Kiev, en Ukraine, ce dimanche 15 décembre 2013 […] Svoboda est l’un des partis restructurés de l’extrême-droite moderne européenne, qui est aligné avec le Bristish National Party et le Front National français, et il a gagné une légitimité électorale en gagnant 10 % des sièges du parlement d’Ukraine en 2010."
"Sergeï Jerjevsko avait participé aux émeutes et violences durant la Révolution du Maïdan (hiver 2013-2014), et s’était enrôlé dans un bataillon de représailles non connu, mais probablement l’un des 3 bataillons formés dans la ville, dont Kirovograd ou Roukh Oporou (2014)." " Il fut décoré par le Président Porochenko, de l’ordre « Pour le Courage » (25 mars 2015)."
"titre de Héros de l’Ukraine pour Bandera accordé à Bandera par le Président Iouchtchenko."
"Après le Maïdan, Porochenko devait de nouveau lui faire remettre ce titre, les protestations occidentales furent presque inexistantes."
Sur les réseaux sociaux les soldats du bataillon demandèrent de l’aide financière pour les familles des soldats morts, l’État ukrainien faisant souvent le minimum syndical et laissant les familles se débrouiller dans les problèmes financiers (rapatriement, enterrement, difficultés pour toucher des pensions, parfois même portant disparus les morts pour éviter d’avoir à payer, ou le plus tard possible).
Igor Mirochnitchenko avalisa les massacres de Volhynie, commis durant la collaboration avec l’Allemagne nazie contre les Polonais, mais aussi les Tziganes, les Roumains et ce qui restait de Juifs en vie dans la région (1942-1944).
Andreï Mokhnik : Il devînt un bandériste et néonazi virulent, s’enrôlant dans le mouvement extrémiste Trizoub, (milieu des années 90), sorte de mouvement skinhead à l’ukrainienne local. Il fut choisi par le gouvernement provisoire et Porochenko, comme Ministre de l’écologie et des ressources naturelles de l’Ukraine (février-novembre 2014)."
"Hitler fit arrêter Bandera, mais la réconciliation eut lieu en 1944. Entre temps les nationalistes ukrainiens servirent fidèlement l’Allemagne nazie (1941-1943), participant à la Shoah par balles, aux Einsatzgruppen, à la liquidation des communistes, Juifs, Tziganes, Polonais, Grecs ethniques de la Mer Noire, etc."
https://www.donbass-insider.com/fr/2023/01/24/brigade-svoboda-parti-national-socialiste-dukraine-mafia-et-rackets/