États-Unis : Joe Biden et son ami Robert Byrd du KuKluxKlan.
"Doyen du Congrès, où il avait occupé le poste de leader de la majorité démocrate à deux reprises, Robert Byrd était unanimement respecté par ses pairs, malgré un parcours complexe débuté dans les rangs de l'organisation raciste du Ku Klux Klan."
'C'est sa rencontre avec le Ku Klux Klan qui le projette en politique, un «grand dragon» de l'organisation suggérant sa candidature à la Chambre des représentants de l'État en 1946."
"Six ans plus tard, alors qu'il est candidat à la Chambre des États-Unis, Robert Byrd avoue son appartenance au Klan, en parlant comme d'une «erreur de jeunesse». " Il oublie ses nombreux contacts avec le Klan durant toute sa carrière politique et le soutien financier du Klan aux campagnes du parti qui l'a promu : le parti Démocrate.
Un soutien "qui ne l'empêchera pas de voter contre les grandes lois sur l'octroi des droits civiques aux Noirs, alors qu'il a été élu au Sénat."
Article LeFigaro
Les témoignages affluent désormais sur les actes criminels et pédocriminels des membres et dirigeants du Ku Klux Klan de la part d'enfants témoins et victimes qui osent enfin parler.
