Information et lutte contre les abus
Informations, articles de presse relatant des affaires judiciaires concernant les abus, trafics, incestes etc
17 juillet 2025
Lituanie : une petite fille livrée à un groupe pédocriminel par sa mère contre une poignée d'euros.
Albanie : Enlèvements d'enfants et trafic d'êtres humains
15 juillet 2025
France : Pierre-Alain Cottineau, militant lgbt+ et LFI abusait des enfants confiés à son domicile agréé.
Victimes : Aurélien Wiik, comédien, abusé par son agent lorsqu'il était mineur.
États-Unis : le couple gay Zulock abusait de ses 2 fils adoptifs et partageait les images sur internet.
14 juillet 2025
France : Grossophobie générale - santé, mode, emploi, tourisme, politique, sport, relations sociales..
"La première fois que j’ai été victime de grossophobie, je faisais du 38, c’était pour les Victoires de la musique en 2019." - Louane
Caldey : l'île cistercienne où les moines abusaient des enfants
Suisse : Werner Ferrari fréquentait les fêtes populaires pour abuser des enfants puis les tuer.
13 juillet 2025
France : Claude Dunand recrutait des garde-malade par petite annonce, les séquestrait et les louait à des tortionnaires, dans son pavillon
11 juillet 2025
De l'employeur voyou au harcèlement social : récit d'une expérience
10 juillet 2025
Église protestante : 9355 mineurs victimes d'abus sexuels en Allemagne
En Allemagne, L'Église protestante a publié une étude indépendante menée par des universitaires sur des violences sexuelles commisses en son sein. Selon une estimation rendue publique ce jeudi, 9355 mineurs pourraient avoir été abusés sexuellement.
France : Bernard Alapetite au centre de plusieurs réseaux de pédopornographie
Pierre Chanal, ajudant néo-nazi violeur et tueur multirécidiviste de jeunes hommes
Le Handicap : manne pour les escrocs, profiteurs, exploiteurs + une inaccessibilité générale persistante.
Think-tank et cercles de réflexion : les influenceurs qui suggèrent le pire aux dirigeants politiques et économiques
Allemagne : 3677 victimes d'abus sexuels dans l'Eglise Catholique.
"Pédophilie dans l'Eglise : 314 victimes, 202 responsables dans le diocèse de Cologne, en Allemagne"
"Un rapport indépendant commandé par l'Eglise catholique en Allemagne a identifié que des violences sexuelles ont été infligées à 314 mineurs par 202 membres du clergé ou des laïcs entre 1975 et 2018"
https://www.sudouest.fr/international/europe/allemagne/pedophilie-dans-l-eglise-314-victimes-202-responsables-dans-le-diocese-de-cologne-en-allemagne-1727434.php
28 juin 2025
France : Michel Caignet, un néo-nazi éditeur de revues gays et de vidéos pédopornographiques
"Michel Caignet, né Miguel Caignet en 1954, est un traducteur, journaliste et éditeur français.
Né en 1954, Michel Caignet fréquente au début des années 1980 la Fédération d'action nationale et européenne (FANE), un mouvement néonazi (dissous en 1986 et devient président du Centre de culture européenne. Il est victime en 1981 d'une agression de la part de militants juifs et défiguré par un jet de vitriol.
À partir de 1986, il publie le mensuel homosexuel Gaie France, destiné, selon les termes de son responsable, à un public cultivé aimant « regarder de jeunes personnes[3] ». En réaction se constitua un Comité homosexuel et lesbien antifasciste (CHLAF) afin d'alerter le mouvement LGBT sur les liens idéologiques de la revue[4]. À la suite des démarches du Projet Ornicar et à l’intervention de la CNCDH, Gaie France Magazine a été interdit à la vente aux mineurs, par arrêté ministériel du , pour « incitation à la pédophilie ». Caignet en poursuit la publication sous un autre titre : Gaie France nouvelle série, qui cesse de paraître en 1993.
Il prétend avoir cessé de militer à la fin des années 80, après avoir été chassé d'un banquet commémorant la naissance d'Adolf Hitler au cours duquel il aurait diffusé Gaie France et tenté d'expliquer aux Italiens présents que Benito Mussolini était homosexuel.
Michel Caignet est poursuivi en 1997 dans une affaire de diffusion de films pornographiques pédophiles (dit réseau Toro Bravo, films tournés en 1994 en Colombie[6] par une société française de production : Toro Bravo), proposés aux lecteurs de Gaie France[7]. Il déclare que les figurants étaient des majeurs « paraissant jeunes », et que si ce n'était pas le cas, c'est qu'il avait été « abusé». Il est condamné à quatre ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis[1]."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Caignet
2015 - #France - Affaire Toro Bravo "Cette société de «cinéma» se trouvait à #Bogota dans un bordel, tenu par Jean-Manuel Vuillaume fondateur de Toro bravo.
Ce dernier proposa à son ami Michel Caignet éditorialiste et journaliste français, son resto-bordel pour le tournage de films et de séances photos que Caignet publiait dans ses (...) revues."
"Les originaux des films parvenaient à «La Mouette» l’une des sociétés d’édition de Michel Caignet à des prix allant de 3.500 à 5.000 francs." Un ami lillois de Caignet se chargeait de les dupliquer. Cela au rythme de 50 à 100 par mois. Prix de la copie (cassette vierge non comprise): 50 francs. Prix de vente au particulier: entre 200 et 300 francs.
Caignet est mis en accusation quatre fois pour des faits similaires (diffusion et vente d’image à caractère pédopornographique) entre 1994 et 1995, relaxé systématiquement par la justice."
https://wantedpedo-officiel.com/toro-bravo-production-1-et-2__trashed/
"En prison, à Fleury-Mérogis, Michel Caignet est un «pointeur», celui qui touche aux enfants. «La lie de la lie de la société, a raconté hier son avocat. Il est détesté par les codétenus, par les gardiens, il a une peur bleue d'aller au parloir, d'aller à la douche il n'y va pas , à la promenade on lui jette des briques, des ballons. A l'extérieur, c'est un pointeur aussi, les médias ont publié son nom, son prénom, son pedigree, son adresse, la TV a filmé son immeuble. On a l'impression que tout est joué d'avance, avant que l'on vienne se réfugier près de vous, juges du siège, à l'heure des explications.» Ce client que défendait Me Jean-Jacques Teani, hier devant la 15e chambre correctionnelle de Paris, est accusé d'être le diffuseur des cassettes à caractère pédophile, l'organisateur de ce réseau Toro Bravo qui a envoyé 71 personnes devant le tribunal.Un pédophile, donc, et un néonazi aussi. Un militant qui a affiché ses convictions d'extrême droite, qui offre au tribunal un visage défiguré par une agression au vitriol et qui, en trois semaines d'audience, n'a guère présenté que de similiregrets. Quelles «explications» son avocat peut-il avancer? Me Teani a dit que, quand il plaidait ce genre d'affaires il y a quinze ans, il avait, avec lui, «des médecins, des psychiatres, des sociologues, des chercheurs, des intellectuels, des artistes, qui venaient dire les "bienfaits d'activités sexuelles pour les enfants: Aujourd'hui, ces gens-là ont disparu."Le vitriol qui lui a été jeté à la figure en 1981 a laissé de larges
cicatrices. Les taches blanches, lisses, s'étalent sur sa joue gauche, le menton, une partie du nez. Sa bouche est déformée. Il semble avoir du mal à s'exprimer, chacun de ses mots est heurté, ses phrases sont lentes, parfois inachevées. Avant de répondre, il attend, jette un regard interrogateur sur la partie civile, sur le tribunal, il hésite. Il gagne quelques secondes.
Michel Caignet sait très bien ce qu'il veut dire, il pèse ses déclarations, en connaît la portée. Il est le principal prévenu dans le procès des soixante et onze amateurs de cassettes vidéos pédophiles, ouvert lundi à Paris. L'accusation lui reproche d'avoir organisé le réseau. Selon elle, il aurait acheté les films, les aurait fait dupliquer, en aurait organisé la publicité et les aurait adressés aux clients qui en faisaient la demande. Il risque de cinq à sept ans de prison et une amende de 500 000 à 700 000 francs.
Michel Caignet a 43 ans. Depuis une dizaine d'années, il s'est spécialisé dans la publication de revues comme Gaie France Magazine, Complice, le Gay Pavois, que le ministère de l'Intérieur interdit, parce qu'elles présentent un «caractère pédophile», et qui reparaissent sous d'autres titres. Depuis dix ans, Michel Caignet joue au chat et à la souris avec la justice. «Vous n'avez jamais été condamné», a rappelé hier la présidente. Jamais.
https://www.liberation.fr/france-archive/1997/06/18/proces-du-reseau-de-realisateurs-et-d-amateurs-de-videos-pedophiles-depuis-1o-ans-il-jongle-avec-la-_208312/
En 1992 était encore publié, en France, un magazine pro-pédophilie, Gaie France, dont le directeur de la publication, Michel Caignet, s’avère être un néonazi notoire.
Sur ce sujet, le Réseau Voltaire nous apprend qu’un des buts de ce mensuel était de promouvoir les thèses nazi au sein de la communauté homosexuelle ( http://www.voltairenet.org/article750… ).
https://wantedpedo-officiel.com/mur_video/video/gaie-france-magazine-neonazi-homosexuel-et-pedophile-michel-caignet-jcrabiller/