28 juin 2025

France : Michel Caignet, un néo-nazi éditeur de revues gays et de vidéos pédopornographiques

 


"Michel Caignet, né Miguel Caignet en 1954, est un traducteurjournaliste et éditeur français.

Né en 1954, Michel Caignet fréquente au début des années 1980 la Fédération d'action nationale et européenne (FANE), un mouvement néonazi (dissous en 1986 et devient président du Centre de culture européenne. Il est victime en 1981 d'une agression de la part de militants juifs et défiguré par un jet de vitriol.

À partir de 1986, il publie le mensuel homosexuel Gaie France, destiné, selon les termes de son responsable, à un public cultivé aimant « regarder de jeunes personnes[3] ». En réaction se constitua un Comité homosexuel et lesbien antifasciste (CHLAF) afin d'alerter le mouvement LGBT sur les liens idéologiques de la revue[4]. À la suite des démarches du Projet Ornicar et à l’intervention de la CNCDHGaie France Magazine a été interdit à la vente aux mineurs, par arrêté ministériel du , pour « incitation à la pédophilie ». Caignet en poursuit la publication sous un autre titre : Gaie France nouvelle série, qui cesse de paraître en 1993.

Il prétend avoir cessé de militer à la fin des années 80, après avoir été chassé d'un banquet commémorant la naissance d'Adolf Hitler au cours duquel il aurait diffusé Gaie France et tenté d'expliquer aux Italiens présents que Benito Mussolini était homosexuel.

Michel Caignet est poursuivi en 1997 dans une affaire de diffusion de films pornographiques pédophiles (dit réseau Toro Bravo, films tournés en 1994 en Colombie[6] par une société française de production : Toro Bravo), proposés aux lecteurs de Gaie France[7]. Il déclare que les figurants étaient des majeurs « paraissant jeunes », et que si ce n'était pas le cas, c'est qu'il avait été « abusé». Il est condamné à quatre ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis[1]."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Caignet

2015 - #France - Affaire Toro Bravo "Cette société de «cinéma» se trouvait à #Bogota dans un bordel, tenu par Jean-Manuel Vuillaume fondateur de Toro bravo.

Ce dernier proposa à son ami Michel Caignet éditorialiste et journaliste français, son resto-bordel pour le tournage de films et de séances photos que Caignet publiait dans ses (...) revues."

"Les originaux des films parvenaient à «La Mouette» l’une des sociétés d’édition de Michel Caignet à des prix allant de 3.500 à 5.000 francs." Un ami lillois de Caignet se chargeait de les dupliquer. Cela au rythme de 50 à 100 par mois. Prix de la copie (cassette vierge non comprise): 50 francs. Prix de vente au particulier: entre 200 et 300 francs.

Caignet est mis en accusation quatre fois pour des faits similaires (diffusion et vente d’image à caractère pédopornographique) entre 1994 et 1995, relaxé systématiquement par la justice."

https://wantedpedo-officiel.com/toro-bravo-production-1-et-2__trashed/

"En prison, à Fleury-Mérogis, Michel Caignet est un «pointeur», celui qui touche aux enfants. «La lie de la lie de la société, a raconté hier son avocat. Il est détesté par les codétenus, par les gardiens, il a une peur bleue d'aller au parloir, d'aller à la douche ­ il n'y va pas ­, à la promenade on lui jette des briques, des ballons. A l'extérieur, c'est un pointeur aussi, les médias ont publié son nom, son prénom, son pedigree, son adresse, la TV a filmé son immeuble. On a l'impression que tout est joué d'avance, avant que l'on vienne se réfugier près de vous, juges du siège, à l'heure des explications.» Ce client que défendait Me Jean-Jacques Teani, hier devant la 15e chambre correctionnelle de Paris, est accusé d'être le diffuseur des cassettes à caractère pédophile, l'organisateur de ce réseau Toro Bravo qui a envoyé 71 personnes devant le tribunal.Un pédophile, donc, et un néonazi aussi. Un militant qui a affiché ses convictions d'extrême droite, qui offre au tribunal un visage défiguré par une agression au vitriol et qui, en trois semaines d'audience, n'a guère présenté que de similiregrets. Quelles «explications» son avocat peut-il avancer? Me Teani a dit que, quand il plaidait ce genre d'affaires il y a quinze ans, il avait, avec lui, «des médecins, des psychiatres, des sociologues, des chercheurs, des intellectuels, des artistes, qui venaient dire les "bienfaits d'activités sexuelles pour les enfants: Aujourd'hui, ces gens-là ont disparu."
https://www.liberation.fr/france-archive/1997/07/04/au-proces-toro-bravo-l-avocat-du-fournisseur-presume-de-videos-pedophiles-met-en-cause-la-justicecai_211530/


Le vitriol qui lui a été jeté à la figure en 1981 a laissé de larges

cicatrices. Les taches blanches, lisses, s'étalent sur sa joue gauche, le menton, une partie du nez. Sa bouche est déformée. Il semble avoir du mal à s'exprimer, chacun de ses mots est heurté, ses phrases sont lentes, parfois inachevées. Avant de répondre, il attend, jette un regard interrogateur sur la partie civile, sur le tribunal, il hésite. Il gagne quelques secondes.

Michel Caignet sait très bien ce qu'il veut dire, il pèse ses déclarations, en connaît la portée. Il est le principal prévenu dans le procès des soixante et onze amateurs de cassettes vidéos pédophiles, ouvert lundi à Paris. L'accusation lui reproche d'avoir organisé le réseau. Selon elle, il aurait acheté les films, les aurait fait dupliquer, en aurait organisé la publicité et les aurait adressés aux clients qui en faisaient la demande. Il risque de cinq à sept ans de prison et une amende de 500 000 à 700 000 francs.

Michel Caignet a 43 ans. Depuis une dizaine d'années, il s'est spécialisé dans la publication de revues comme Gaie France Magazine, Complice, le Gay Pavois, que le ministère de l'Intérieur interdit, parce qu'elles présentent un «caractère pédophile», et qui reparaissent sous d'autres titres. Depuis dix ans, Michel Caignet joue au chat et à la souris avec la justice. «Vous n'avez jamais été condamné», a rappelé hier la présidente. Jamais.

https://www.liberation.fr/france-archive/1997/06/18/proces-du-reseau-de-realisateurs-et-d-amateurs-de-videos-pedophiles-depuis-1o-ans-il-jongle-avec-la-_208312/

En 1992 était encore publié, en France, un magazine pro-pédophilie, Gaie France, dont le directeur de la publication, Michel Caignet, s’avère être un néonazi notoire.
Sur ce sujet, le Réseau Voltaire nous apprend qu’un des buts de ce mensuel était de promouvoir les thèses nazi au sein de la communauté homosexuelle ( http://www.voltairenet.org/article750… ).

https://wantedpedo-officiel.com/mur_video/video/gaie-france-magazine-neonazi-homosexuel-et-pedophile-michel-caignet-jcrabiller/

22 juin 2025

Guy Hocquenghem : un militant des relations pédocriminelles sans complexe

#France : Guy Hocquenghem était un militant homosexuel en faveur des relations sexuelles entre adultes et mineurs.

Il est cité par Gabriel Matzneff dans son livre "mes amours décomposés" parmi ses amis et fervents défenseurs, notamment dans l'affaire du "Coral", un foyer de placement d'enfants dans la région de Nîmes dont les enfants ont été abusés sexuellement par le personnel de direction et quelques invités occasionnels, abus objets de publications, photos dans des revues spécialisées des réseaux pédophiles militants en Europe dont certaines circulent sur le darknet.
Guy Hocquenghem a fait un roman de cette affaire Coral.

Gabriel Matzneff était propriétaire d'un appartement aux Philippines qu'il prêtait à ses amis homosexuels et pédophiles pour le tourisme sexuel. Hocquenghem faisait partie de son réseau relationnel militant.

Il fréquentait les réseaux pédophiles, il est donc mêlé de fait à plusieurs affaires judiciaires de réseaux pédocriminels.

Dans ce livre "le gay voyage", il livre ses expériences, ses suggestions, ses adresses et des conseils.
"En janvier dernier, la maire du XIVe arrondissement rendait hommage à cet ancien journaliste, qui avait tenu publiquement des propos en faveur de la pédophilie. Dans la foulée de la démission de Christophe Girard, plusieurs collectifs appelaient à son retrait."
"la mairie de Paris a discrètement retiré la plaque dédiée à Guy Hocquenghem (1946-1988), défenseur de la pédophilie. Cet ancien journaliste à Libération, écrivain et militant historique du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAR) avait déclaré sur Antenne 2 en 1978 qu'«il y a des enfants qui adorent les vieillards, y compris sexuellement»."
"La plaque en sa mémoire avait été inaugurée en janvier, au 45, rue de Plaisance dans le XIVe arrondissement de Paris. Les appels à sa dépose émanant d'élus écologistes et militantes féministes - le collectif Les Grenades en tête - se sont multipliés, dans la foulée de la démission de Christophe Girard. L'adjoint à la Culture à la mairie de Paris était mis en cause par des élus écologistes pour ses liens présumés avec l'écrivain Gabriel Matzneff, visé par une enquête pour «viols sur mineur».
En décembre, l'installation de cette plaque a fait l'objet d'un vote au Conseil de Paris, puis au Conseil d'arrondissement du XIVe. Christophe Girard, encore en fonction au moment du vote, explique que cet hommage à Guy Hocquenghem «tombait dans [son] champ de compétence culture». Et de rappeler qu'il s'agissait d'une décision collégiale. «Je n'étais que rapporteur. Je n'ai pas voté cette délibération tout seul», se justifie-t-il."
https://www.lefigaro.fr/culture/paris-retire-une-plaque-en-l-honneur-de-l-ecrivain-guy-hocquenghem-ami-de-gabriel-matzneff-20200905

17 juin 2025

Incestes, partouzes, proxénétisme : comment des parents détruisent leurs enfants.

Viol d'un enfant + caméra qui filme l'acte = pédopornographie

Tous les jours on découvre des affaires d'inceste et d'exploitation sexuelle des enfants par leurs propres parents, géniteurs ou adoptifs, tuteurs et accueillants familiaux ; l'apport d'argent frais incite de plus en plus ces adultes à vendre des images des viols et fournir leurs enfants à des violeurs. La "capture" ou "fixation" d'images pédopornographiques ne sont pas des images banales de vacances, ce sont des viols organisés et filmés pour faire un profit pécunier tot ou tard. 


"J'aurais préféré ne pas m'exposer ainsi mais il n'y a pas trente-six façons de faire bouger les choses"

Isabelle Aubry a subi l'inceste, le triolisme, les partouzes paternelles ; elle témoigne dans un livre autobiographique "La première fois, j'avais 6 ans".
Elle a aussi décidé de se battre contre ce fléau en fondant une association "face à l'inceste" (ex AIVI).

Son père, Renaud Aubry, l'utilise donc comme compagne occasionnelle dès l'âge de 6 ans, il l'"habitue" à exaucer ses caprices, pulsions, et autres fantasmes. Plus tard, il l'amène pratiquer le racolage en voiture et les partouzes d'adultes des beaux quartiers parisiens.

"Je ne me souviens pas si j'ai eu mal, je ne me rappelle plus si j'ai pleuré. Je sais que je ne me suis pas débattue. Coupée en deux, mon corps d'un côté, ma tête de l'autre, je [l'] ai laissé [?] m'assassiner dans son grand lit bleu. J'ai obéi parce que j'étais sa fille et qu'il était mon père."
https://www.lejdd.fr/Societe/Inceste-Le-combat-d-Isabelle-Aubry-86923-3083054

Le cas du réseau parental d'Angers, dans le Maine-et-Loire : un couple de parents organise un groupe de parents dans leur quartier qui abuse de leurs propres enfants, de ceux des autres, à leur guise et décident de livrer leurs enfants à des inconnus moyennant paiement. Pendant que le groupe boit le café dans le salon, les enfants sont violés souvent avec violences dans la chambre mitoyenne. Leurs pleurs et supplications n'ont aucun effet.
C'est une femme du groupe qui va dénoncer son mari à la gendarmerie par jalousie : son conjoint fantasmait bruyamment sur la petite Marine, fillette de 10 ans.
https://informationetluttecontrelesabus.blogspot.com/2023/09/france-un-groupe-de-parents-abusaient.html

Affaire Outreau : un couple de parents violeur de ses propres enfants invite des voisins et d'autres parents à agrandir le cercle des abus, allant jusqu'en Belgique pour trouver des "clients".
Les enfants de ce couple souffrant de séquelles physiques (saignements importe ants de l'anus), ils feront l'objet d'un signalement auprès des services sociaux de la part du médecin consulté fréquemment à l'hôpital. Les services sociaux avertiront la justice.

https://informationetluttecontrelesabus.blogspot.com/2023/09/france-outreau-un-couple-de-parents.html