Ces médecins et praticiens para-médicaux sont "agréés" pour donner leur avis sur la santé de la personne examinée et son aptitude professionnelle.
Les médecins délivrent des prescriptions.
Les abus constatés :
- création d'un réseau de "rabatteurs" pour les médecins de cette commission, aux ordres, solidaires et complices.
- diagnostics abusifs
- prescriptions de surdoses systématiques
- corruption de laboratoires d'analyses pour obtenir des résultats conformes aux attentes des abuseurs.
- chantage aux soins, à la reconnaissance du statut handicapé et à l'accès à l'emploi.
- Fausses factures : facturation à la Sécurité sociale de soins ou de consultations qui n'ont pas existé.
- enregistrement de fausses informations dans le dossier du patient sans que celui-ci puisse y accéder pour les modifier ou les supprimer.
- refus de délivrer des certificats médicaux.
- dénigrement des patients qui se plaignent d'un ou plusieurs comportements cités ci-dessus.
- refus de prise en compte des plaintes des patients concernant les prescriptions ou les comportements.
Exemple : A Limoges, la Commission de Réforme de la Fonction Publique Territoriale et ses réseaux "rabatteurs"
Membres :
Le médecin endocrinologue, Dr Françoise Archambeaud
Le Dr Archambeaud promue chevalier de la Légion d'honneur JO 16/04/20217.
https://www.facebook.com/share/16TaiaRb82/
Ce Dr Archambeaud "gérait" les diagnostics d'obésité, de diabète, de problème thyroïdien...
Pour l'insuffisance thyroïdienne elle prescrivait le fameux Levothyrox nouvelle formule à l'insu de ses patients, sans les informer du changement de formule et sans tenir compte de la supportance ou non du traitement, avec une nette tendance à surdoser le traitement.
Or cette nouvelle formule a occasionné un procès au fabricant en raison de la gravité des effets secondaires, du manque total d'information à ce sujet et des conséquences sur la santé des consommateurs.
Un nombre important de patient (plusieurs centaines) soumis à ce traitement a subi une explosion de symptômes macabres.
Tous les médecins et intervenants para-médicaux de cette commission ont prétendu que les symptômes en question étaient dûs à une obésité qui justifiait la prescription.
Il s'avère que les traitements proposés étaient tous supposés faire maigrir les patients en leur coupant l'appétit, en les "dynamisant" façon dopage sportif.
Certaines prescriptions étaient encouragées pécuniairement : une commission sur les ventes était versée à chaque maillon de la chaîne contribuant à la délivrance du traitement.
"L'équipe" s'était vu confier par le Conseil Départemental de la Haute-Vienne la mise en oeuvre d'un dispositif annoncé fièrement par le Président Nicolas Sarkozy appelé "clinique de l'obésité" - en réalité, Sarkozy ne s'intéressait guère à la santé des personnes en surpoids, mais il souhaitait imiter le Président américain Barack Obama qui avait lui-même annoncé lors de son départ de la Présidence se consacrer à la lutte contre l'obésité aux États-Unis.
Il avait marqué son mandat par l'Obama Care qui était un lobbying auprès des gouverneurs et élus de chaque État pour qu'ils votent l'obligation pour les familles de classe moyenne de souscrire une assurance santé privée en vue de réduire le déficit des hôpitaux publics qui ne parviennent pas à faire payer les factures de soins aux bénéficiaires.
La Présidente du Conseil Général devenu Conseil Départemental Marie-Françoise Perol-Dumont (Parti socialiste) avait fait acte de candidature pour le projet obésité auprès du Président, espérant sans doute récolter quelques deniers supplémentaires pour son département. Il n'y avait aucune subvention à la clef (Sarkozy n'a pas l'habitude de mettre la main à la poche pour les autres, il a tendance à faire prendre en charge par les autres, le Qatar entre autres), mais... une prise en charge intégrale par la Sécurité sociale à condition... de mutiler les cibles : mon ex généraliste s'était étonné que je ne sois pas prise en charhe à 100% pour cette prescription et en consultant son manuel, avait constaté qu'il fallait avoir été opéré (ablation) pour bénéficier de cette prise en charge.
Résultat : ablation industrielle de la glande thyroïde justifiant la prescription de la nouvelle formule de Levothyrox et dépendance assurée à la prescription.
Comportements de gang :
- Obligation de consulter son généraliste tous les 3 mois environ pour renouveler la prescription : s'assurer l'assiduité de la clientèle d'autant que la sécurité sociale ne rembourse intégralement que les visites chez le médecin "référent" enregistré dans son dossier médical ;
- Bilan sanguin tous les trois mois faisant apparaitre les taux tsh nécessaires à l'évaluation de la dose du traitement dans un laboratoire éventuellement complice de l'opération + cholestérol, triglicérides et glycémie qui sont des outils de pression et de chantage permettant la prescription éventuelle de traitements amaigrissants supplémentaires.
Pourquoi demander aux gens s'ils sont traités pour la thyroïde et leur poids avant le prélèvement ? (Désormais le médecin prescripteur inscrit lui-même le poids du patient sur l'ordonnance pour être sûr de garder le contrôle absolu)
Le laboratoire n'interroge pas sur le ou les traitements suivis quels qu'ils soient, seulement sur le traitement thyroïdien.
Le cardiologue vous examine et vous dit que vous n'avez aucun problème, que vous êtes en pleine forme et dicte un courrier sur son dictaphone pour votre généraliste dans lequel il dit que vous avez un problème d'obésité à prendre en compte.
- Chantage à l'emploi : Ma généraliste me harcèle pour que je suive le processus de cette "clinique de l'obésité" me disant que je ne pourrai pas trouver d'emploi tant que je serai "obèse", tiens tiens...
Il est temps que je précise que les vêtements que je porte sont de la taille 46-48 taille française et 50-52 taille internationale.
- la tricherie : le problème du poids : chez mon ancien généraliste membre de la Commission, j'ai pris 30 kg en 3 mois sur sa balance ; chez un cardiologue, je pesais 30 kg de moins que chez le généraliste en question, à la même période. J'avais fait un bilan de santé à la même époque et mon poids était le même que chez le cardiologue.
Ma nouvelle généraliste a ajouté 20 kg aux 30 kg de mon ex-généraliste, et ce poids est celui qui apparait chez tous les membres du réseau de cette commission.
Il existe des formes alternatives à ce traitement ; j'ai choisi cette solution. Mais ma généraliste tente de m'imposer le retour au Lévothyrox nouvelle formule à chaque visite et l'intégration au processus "clinique de l'obésité" et je refuse fermement à chaque fois.
L'ancien généraliste m'avait donc prescrit la nouvelle formule sans me le dire et niait comme les autres les effets secondaires spectaculaires de cette nouvelle formule. Moi je ne comprenais pas pourquoi soudainement j'avais d'énormes problèmes cardiaques, respiratoires, j'éprouvais des difficultés considérables à marcher, à monter les escaliers, à lacer mes chaussures et même à les enfiler, je perdais mes cheveux plus que j'ai d'habitude etc. Tous les médecins et leurs complices me disaient que c'était à cause de mon obésité. Seulement voilà, je suis sportive, j'ai fait du sport toute ma jeunesse ; dans mon logement précédent j'habitais au 7ème étage et je montais occasionnellement à pied, je marchais beaucoup et soudainement, en déménageant, je serais devenu obèse et impotente ? Évidemment j'ai refusé le diagnostic et cherché l'explication.
D'une part sur les réseaux sociaux j'ai vu que je n'étais pas là seule à me plaindre de ces effets secondaires soudains et colossaux, qu'il y avait un procès du laboratoire contre lequel une horde de patients avait porté plainte soutenus par une députée européenne et quelques personnalités connues ; des groupes constitués dans plusieurs régions de France participaient au procès avec des associations.
D'autre part j'ai découvert l'appartenance de cet ex-généraliste à la dite Commission de Réforme chapeautée par l'endocrinologue Archambeaud prescriptive et le psychiatre Lombertie de l'asile psychiatrique de la ville qui était l'employeur de certains membres de cette commission siégeant en tant qu'élus (PS) du Département chargés des services sociaux, un autre aspect sordide de cette affaire.
Le diagnostic "PSY" lié au diagnostic "OBÉSITÉ"
Dans le dispositif "clinique de l'obésité' il y a un aspect psy. Les victimes sont souvent considérées comme dépressives donc prises en charge par des psy partenaires du dispositif. Le diagnostic obésité les rend inapte au travail, les victimes font donc l'objet d'une reconnaissance de handicap "obésité", source de prise en charge sécurité sociale, d'indemnisation éventuelle pour "maladie longue durée" et cerise sur le gâteau ça les rend disponibles pour une utilisation multiple par les membres du réseau et leurs complices.
Les "avantages" du cumul de diagnostics : en tant que handicapés, ils sont embauchés chez des employeurs subventionnés pour l'emploi de personnel handicapés (donc réseau d'employeurs complices) et logés par l'hôpital qui a passé des accords avec les bailleurs sociaux pour loger leurs protégés (facilités offertes aux diagnostiqués et priorité d'accès).
Ce qui m'amène au problème psy : le psychiatre de cette commission avait passé un accord avec le maire socialiste A.R. pour loger les personnes soignées par ses services dans des quartiers identifiés de la ville, identifiés par l'étiquette de la maladie psychiatrique hébergée dans ces quartiers : schozophrénie ici, épilepsie là, etc. Cet accord avait été publié dans la presse locale.
Le quartier sur lequel j'habite était dédié à la schizophrénie.
Le Pôle emploi (ancêtre de France Travail me traitait comme une malade mentale, squizzait ou plantait toutes mes démarches, faisait des réflexions désobligeantes, me riait au nez. Un agent de l'agence du centre ville m'avoue que les demandeurs d'emploi de mon quartier sont envoyés vers une autre adresse. J'y vais voir : c'était une agence mitoyenne de l'asile psychiatrique ! Premier entretien, la nana me dit :vous êtes handicapée ? Je réponds non. Elle me dit "Vous n'êtes pas obligée de le dire." Alors j'insiste "non je ne le suis pas" et là je vois sur son écran qu'elle dé-coche la case "handicapé". Une autre fois, elle me dit que ma candidature d'agent administratif dans son agence n'a même pas été relayée par sa personne alors que c'est elle qui me l'avait proposée et elle me montre que toutes mes candidatures effectuées via le site de Pôle emploi n'ont pas été envoyées aux employeurs auteurs des offres : le conseiller doit cliquer sur chacune d'elle pour la valider et cela n'a pas été fait.
Voilà donc que j'étais traitée de ou comme schizo par un certain nombre d'interlocuteurs visiblement complices du stratagème municipal. Ce qui m'a mis sur cette piste, encore une fois, c'est le comportement de mon ancien généraliste membre de la commission qui a gravement dévié de celui que je lui connaissais avant l'affaire. Lors d'une consultation, il insistait pour savoir si je n'avais pas de problème particulier. Je lui dis que j'avais mal au dos ; c'était de la déshydratation, mais lui au lieu de me dire, comme il l'aurait fait auparavant, que c'était de la déshydratation et qu'il fallait que je boive de l'eau régulièrement, il me prescrit un antidouleur ; d'habitude il me prescrivait de l'efferalgan 250mg, il savait que je n'étais pas une grande consommatrice de médicaments et que je prenais généralement la dose minimale. Cette fois ci, il me prescrit un opioïde pour douleurs chroniques : Ixprim.
J'ai pris les produits prescrits à la pharmacie du quartier, aucun commentaire. Arrivée chez moi, je lis la notice car j'étais vraiment intriguée par cette prescription. Et là, oh surprise. Il était écrit noir sur blanc que ce médicament pris de façon prolongée et en prise compète (3fois par jour) provoquait des maladies mentales telles que la schizophrénie. Or si le médicament est prescrit pour des douleurs chroniques, ça induit une prise complète et quasi permanente.
Je ne l'ai pas consommé. Mon père qui habite un autre quartier était traité pour des douleurs post-opératoires avec un autre opïoide déclencheur d'épilepsie, je lui ai conseillé d'arrêter immédiatement ce traitement parce qu'il était dangereux pour lui, entre autres parce que mon père passe beaucoup de temps au volant de sa voiture, il fait parfois de longues distances pour se rendre aux réunions de son association ou de son parti politique, à Paris par exemple, et lorsque j'ai eu l'occasion de voyager avec lui, il a failli faire une crise d'épilepsie, il en avait les premiers symptômes, ce qui était inhabituel.
Le diagnostic obésité fait courir des risques en matière de prescription.
Le Médiator, des laboratoires Servier, a lui aussi été prescrit exagérément dans le cadre de cette soi-disant lutte "contre l'obésité" : autre procès après quelques décès directement liés à ces prescriptions.
L'autre maladie à la mode qui aiguise les appétits est le diabète, Le Dr Archambeaud a entrepris de faire d'une pierre 2 coups en décrétant que les clients traités pour la thyroïde devait aussi subir le traitement du diabète ; elle ne recule devant rien pour assouvir ses appétits féroces.
Lors d'une hospitalisation forcée en 2012 ( mon père avait magouillé un truc avec une généraliste, Dr P., que j'avais consultée 1 fois, cette généraliste était restée injoignable, s'était radiée de l'ordre des médecins local et avait déménagé à Marseille où elle s'est réinstallée), je devais subir un re-dosage du traitement thyroïdien ; j'ai du mettre les choses au point avec le médecin interne de l'Hôpital chargé de cette mission, un garçon tout à fait charmant qui a pris en compte mon in-supportance du traitement jusque là prescrit, à savoir la fameuse nouvelle formule. Il a démarré le dosage à 2 mico-grammes quand la dose habituellement administrée est de 150 micro-grammes pour une femme adulte. Ça m'a beaucoup amusée. Bref, j'en reviens au diabète.En arrivant dans le service de séjour à l'hôpital, une infirmière me plante d'emblée une perfusion dans le bras en disant que c'était pour me réhydrater. Il semble que ce soit l'argument systématique. Je lui demande alors ce qu'il y avait dans cette perfusion, elle me répond que c'est du sucre. Calcul : on vous met du sucre en permanence dans le sang, on vous fait des prises de sang tous les jours, quel peut être le résultat ?
Je lui ai demandé de retirer cette perfusion immédiatement, elle a refusé en disant que c'était un ordre de son chef.. !? Qu'il lui fallait l'ordre d'un médecin pour la retirer. Le personnel change en fin d'après midi, je suis partie explorer pendant la nuit pour trouver un médecin dans le coin, les couloirs étaient déserts mais j'ai fini par en trouver un auquel j'ai demandé de me retirer cette perfusion ; il m'a répondu qu'il n'en avait pas le droit, que seules les infirmières sont habilitées à les retirer mais qu'il pouvait l'arrêter, alors je lui ai demandé de le faire et il l'a fait. Le matin l'infirmière était furieuse en voyant la perfusion arrêtée et elle s'apprêtait à la remettre alors je lui ai dit qu'elle n'avait pas le droit de la remettre puisque c'était un médecin qui l'avait arrêtée. Mais elle ne l'a pas enlevée. Plus tard je suis sortie de ma chambre et je me suis pris les pieds dans la perche qui est tombée, la poche s'est éventrée, alors l'infirmière me l'a enlevée et ne l'a pas remplacée. Je me suis arrangée pour sortir rapidement : je suis entrée le vendredi et suis sortie le lundi. Le service, que dis-je, la "cadre de santé" m'avait pris un rendez-vous d'office avec l'endocrinologue Dr Archambeaud environ 1 semaine après.
Chez Archambeaud qui consulte à l'hôpital du Cluzeau, une fille du bureau voisin d'Archambeaud se plante sous mon nez, collée comme si elle voulait que je lui roule une pelle, me regarde dans les yeux et me dit "vous venez pour le diabète" je dis non, elle insiste, je répète non. A ce moment-là l'assistante d'Archambeaud m'appelle pour le rendez-vous ; Archambeaud me dit vous avez du diabète, je lui dis non, elle me dit énervée "c'est ce qu'on va voir" et sort les résultats d'analyses des prélèvements faits à l'hôpital pendant mon séjour. Surprise, il n'y a pas de diabète, c'est à dire pas suffisamment de sucre dans le sang pour justifier le diagnostic diabète. Elle embraye sur le traitement thyroïdien en disant qu'il fallait monter la dose de 150 à 200 micro grammes et là je prends un plaisir non dissimulé à lui expliquer que non, elle doit se conformer aux prescriptions de l'hôpital qui avait atteint les 12 microgrammes lors de ma sortie.
Très énervée, elle me demande ce que je veux, j'en ai donc profité pour changer de traitement.
Elle m'a donc prescrit le nouveau traitement.
Précision utile : depuis ce nouveau traitement, j'ai retrouvé ma forme physique, la capacité à marcher, monter les escaliers normalement.
Dans le dossier obésité, il y a aussi le mépris social, le mépris du patient.
Dans l'imagerie populaire colportée par un certain nombre de sociétés dites savantes, les gros sont considérés comme débiles mentaux, comme les handicapés physiques d'ailleurs. Les gros sont moqués, méprisés, ridiculisés, agressés, infantilisés.
Aujourd'hui on appelle grossophobie et notamment grossophobie médicale le fait de s'en prendre systématiquement aux personnes n'ayant pas la taille mannequin. La taille mannequin, en réalité, peu de personnes l'ont. Le critère est de rentrer dans la taille 34 en vêtements, ce qui est rare.. et pour cause, les agences de mannequins recrutent des adolescentes et les affament, leur interdisent de manger, les terrorisent avec leur poids, leur interdisant de prendre 1 gramme, les rendent anorexiques de fait. Autre scandale d'ailleurs de mannequins rendus squelettiques qui sont morts d'anorexie dont une a fait une campagne médiatique sur le sujet.
Il y a donc harcèlement mortel des personnes que ces calibreurs macabres qualifient d'obèses parce qu'ils ou elles ne rentrent pas dans leurs critères de taille mannequin.
Le psychiatre Lombertie a pris sa retraite de l'hôpital et s'est fait élire maire UMP de la ville ; lors de sa réélection il a coopté un collègue de l'asile et sa collègue Archambeaud sur sa liste et lui a attribué la responsabilité du "sport santé" aussi lié au dispositif obésité... bénéficiant des installations sportives municipales gratuites et de la prise en charge sécurité sociale pour la prescription des séances de sport..
L'ancien généraliste Dr Breillout a pris sa retraite mais a transmis le relai visiblement à ma généraliste actuelle Dr Demay Frachet, elle m'avait confié avoir été son élève et ne cacje pas son adhésion au réseau diagnostic obésité.
Mon ex conjoint travaillait pour la mairie depuis 20 ans en contrat précaire genre vacation. A notre retour de vacances en septembre 1999, il a la surprise désagréable de "n'être pas inscrit au planning de travail du service" le jour de son retour au travail, remplacé par un étudiant. Je lui ai donné la marche à suivre pour conserver son emploi. Il l'a conservé. Ensuite il a sollicité la Commission de Réforme de la fonction publique territoriale pour changer d'horaire, passer du travail de nuit au travail de jour. Son généraliste, le Dr Rouchaud de Couzeix, à l'époque subventionné par des laboratoires pour certaines prescriptions, devenu trésorier puis vice président de l'ordre des médecins de la Haute vienne, lui a fait un courrier pour démarrer la procédure et l'a envoyé au psychologue de la commission ; le psychologue lui a demandé de me rencontrer, nous y sommes donc allés ensemble la fois suivante et là, il lui dit que tous ses problèmes viennent de moi, qu'il doit se séparer de moi pour résoudre ses problèmes. Mon conjoint m'a donc demandé quelques jours après de quitter son logement avec mes affaires dans les plus brefs délais.
Je cherchais un emploi éventuellement sur Paris ; lors d'un déplacement pour des entretiens d'embauche, il m'a dit de rester à Paris et m'a menacée de me faire traiter de folle si je revenais, et il l'a fait. Il a ensuite démarré la procédure de divorce. Plus tard, sous la Prèsidence de Sarkozy, il m'a appelée sur mon téléphone fixe pour m'accuser d'être communiste avec des arguments qui ne tenaient pas debout ; il avait l'air d'avoir écrit son argumentaire et le lisait tel un robot. Il a récidivé quelques mois plus tard en débitant le même discours à la virgule près et de la même façon. Bref.
Il était sous anti dépresseurs à cause de la procédure de changement d'emploi pour justifier de la nécessité de changer d'horaire. Il disait souffrir d'amnésie. C'est un effet bien connu de ces traitements antidépresseurs psychotropes.
Lorsque je suis revenue, je suis allée le voir et il ne souffrait d'aucune amnésie en ma présence... mais dès qu'apparaissait Michèle Gayot, la trésorière de son association, il faisait semblant d'être amnésique et elle l'encourageait à ne se souvenir de rien de ce qui nous concernait ou concernait l'association avant son arrivée.
Ma mère consultait elle aussi l'ancien généraliste, le Dr Breillout qui lui avait prescrit des antidépresseurs en mon absence. Elle semblait sous emprise et se solidarisait avec ces médecins de la commission de réforme, Breillout et Archambeaud particulièrement. Mais elle a été grandement soulagée quand j'ai changé de traitement et repris une vie presque normale, presque parce que le confinement est passé par la et a stoppé toutes les activités antérieures. La dictature médicale autour des vaccins lui a fait prendre conscience de l'abus de pouvoir médical.global.
Petit rappel : pendant la pandémie : cabinets de généralistes fermés, ma généraliste me dit que si j'attrape le COVID la seule chose qu'elle fera c'est me prescrire du Doliprane 😵💫 ; le personnel du chu qui répète sur tous les tons de ne pas venir aux urgences, qu'ils ne peuvent pas soigner ; tous les rendez-vous de toutes les spécialités sont reportés aux calendes grecques, interventions annulées ; on vous contraint à vous faire vacciner mais les vaccins ne sont pas livrés ; on vous dit de porter des protections mais elles ne sont pas en vente, notre commune a demandé à des couturières amateurs de confectionner des masques en tissu à distribuer, le mien était taché de sang ; le personnel dans certains EHPAD et certains hôpitaux utilisaient des sacs poubelle de 100 litres pour se protèger ; Il était interdit de sortir de chez soi, de voir sa famille et ses amis, de faire ses courses ailleurs qu'au supermarché où l'on ne pouvait acheter que de la nourriture ; tous les clubs de sport avaient interdiction de fonctionner ; les écoles, collèges, lycées étaient fermés, les cours et devoirs de classe ne pouvaient parvenir aux élèves et professeurs que par internet à condition de disposer de la bonne application sur le bon équipement non fourni évidemment ; les transports en commun avaient cessé de fonctionner eux aussi ; il était interdit de sortir sauf pour promener son chien à condition d'en avoir un ; plus aucun service public n'était ouvert, il fallait faire ses démarches par internet à condition d'être équipé ; la poste parfois refusait de livrer les colis achetés par internet (y compris d'hygiène et autres équipements utiles) -Olivier Besancenot du NPA en a fait la démonstration sur Facebook- ; plus aucun accès public à internet pour ceux et celles qui n'auraient pas été équipés, tout était fermé.
Pour finir, si je puis dire, les équipements de protection du personnel mèdical dans les établissements de santé étaient fournis aux personnels de religion musulmane ayant fait allégeance aux organisations religieuses du golfe via Qatar Charity installé en France puis en Angleterre après sa dissolution par Darmanin mais poursuivant son prosélytisme sur Facebook.
Le diabète. Une fois de plus le Dr Archambeaud a trouvé des serviteurs zélés : le Lions club a été sollicité pour récolter des fonds afin de commettre un acte de mécénat médical : offrir la trousse à piquouze pour les enfants diagnostiqués diabétiques. L'opération récupération de bouchons en plastique lancée par Bigard il y a quelques années pour financer des actions humanitaires et de solidarité est récupérée par le réseau Archambeaud pour offrir en partenariat avec l'association Diab'heureux qui "aide" les enfants diabétiques, les enfants victimes de ce diagnostic. Et qui bénéficie de cette générosité macabre ? Les enfants des familles en difficulté économique... ainsi rentabilisés.
Documentaire Arte sur le diabète
Le diabète, une maladie rentable.
https://fb.watch/nUNQUhzHM4/
"Tout médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme ou pharmacien ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d'être dû à un médicament, qu'il l'ait ou non prescrit ou délivré, doit en faire la déclaration immédiate au centre régional de pharmacovigilance."
Qui peut déclarer un effet indésirable ?
>> Les patients et associations de patients
Les patients ou leur représentant (dans le cas d’un enfant, les parents par exemple), les associations agréées que pourrait solliciter le patient, peuvent déclarer, auprès du centre régional de pharmacovigilance dont ils dépendent, les effets indésirables que le patient ou son entourage suspecte d’être liés à l’utilisation d’un ou plusieurs médicaments.
– En savoir plus sur la déclaration par les patients et associations de patients : signalement-sante.gouv.fr
"Les agences régionales mettent en place des permanences 24 heures sur 24, sept jours sur sept, pour que puissent être signalés et gérés des événements présentant un risque pour la santé..
Quels événements doivent être signalés à l'agence régionale ?
les situations de maltraitance ayant une conséquence directe sur la santé et la sécurité, notamment les violences physiques (coups, violences sexuelles, meurtres…) ou psychologiques ;
les défaillances techniques pouvant entrainer un risque pour la santé et la sécurité des personnes (telles que les pannes électriques par exemple).
Les incidents peuvent être signalés par téléphone ou par mail au service de permanence de l’agence."
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Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales
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01 40 56 60 00 (standard)
https://www.ars.sante.fr/signaler-un-evenement-indesirable-4
Signaler :
https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/signalement-sante-gouv-fr/article/qu-est-ce-qu-un-evenement-sanitaire-indesirable
Erreurs volontaires ou stratagèmes ?
J'ai consulté il y a 10 ans le Dr Eichler sur recommandation du Dr Archambeaud pour un diagnostic apnée du sommeil. J'étais censée me brancher la nuit pour respirer normalement ; le Dr Eichler m'a suggéré de me brancher le jour aussi, pendant 3 mois pour rééduquer ma respiration, je l'ai fait mais pas en permanence, j'ai appris alors que cette machine n'était que la première étape dans leur dispositif, ils voulaient "m'appareiller" en permanence, H24, que j'amène la machine en vacances. J'ai refusé. J'ai rendu la machine et cessé de consulter Eichler. Plusieurs années après, le cardiologue Dr C. qui m'a trouvé en pleine forme (j'avais changé de traitement) me questionne sur la machine Eichler, je lui explique, il a été d'accord avec moi.
Il y a quelques semaines, l'intubatrice de l'hôpital me demande ce qu'il en est de cette machine, je lui explique que l'expérience a été close au bout de 3 mois à l'époque. Je me suis donc demandé ce qu'il y avait dans mon dossier "interne" au chu.
Je partageais ma chambre avec une dame résidant habituellement en EHPAD qui faisait une crise de panique parce qu'elle n'avait pas sa machine à respirer dont elle se sert quotidiennement à l'Ehpad alors qu'elle n'avait aucun problème d'essoufflement.
Je trouvais cette personne vaseuse quand elle est arrivée. Au petit déjeuner elle avait 14 médicaments à avaler, même les infirmières étaient étonnées et trouvaient cela suspect. Parmi les médicaments il y avait des antidépresseurs Xanax... un produit dont l'usage chronique est déconseillé.
En 2016 j'ai été opérée en urgence à l'hôpital de la mère et de l'enfant.
1 - Ma mère appelle SOS médecin qui lui dit d'appeler illico le samu ; le service d'urgence téléphonique la balade, le médecin prend le combiné et leur donne l'ordre d'envoyer une équipe aussitôt et le samu arrive avec les pompiers.
2 - Ils appellent une ambulance pour le transport capable de transporter un personne "obèse" parce que les informations dont ils disposent sont celles du réseau de la Commission de Réforme, en l'occurrence le poids implémenté de l'ancien généraliste...
3 - Après le réveil, personne ne veut m'informer de ce qu'ils ont fait lors de cette opération, en quoi elle consistait.
4 - Lors de la visite post opératoire, le gynécologue censé avoir opéré ne veut rien me dire. Je réclame mon dossier, il refuse de me le remettre et me dit qu'il l'envoie à ma généraliste.
5 - Ma généraliste explique à ma demande en quoi consistait l'opération et me dit que nous avons du en parler avec le gynécologue lors des consultations pré-opératoires puisque le dossier mentionne que je suis suivie dans son service mais elle refuse de me le donner pour que je vous ce qui y est écrit précisément.
6 - Je lui réponds que je n'ai jamais consulté ce gynécologue ni avant ni après et elle me réponds en gros que je suis folle, que je ments et que je ne sais pas de quoi je parle, que ce dossier mentionne ce suivi donc c'est moi qui raconte des histoires.
Opérée en urgence au CHU en 2023 pour un abcès, le service me propose un rendez-vous en odontologie pour soi disant extraire une dent et me proposer un appareil pour les dents manquantes. F de g ! Consultation : le Dr truc prétend savoir mieux que moi par qui j'ai été opérée, me donne des informations fausses et utilisé un faux cliché sensé justifier qu'on m'arrache le reste des dents encore présentes... Identique à celui du centre de soins dentaires hébergé par la Sécurité sociale avenue Jean Gagnant où les praticiens ne soignent pas mais arrachent tout ce qu'ils peuvent pour fourguer des prothèses de faćon systématique sans jamais les délivrer aux clients d'ailleurs, ils trouvent toujours un prétexte pour ne pas le faire.
Le plus troublant c'est que à l'accueil du service odontologie du chu on me demande de faire une radio panoramique dans le service dédié avant de rencontrer le Dr Truc qui reçoit le résultat de l'examen sur son écran d'ordinateur, mensonge grossier, donc, et radio bidon aussi semble+t-il.
Là, le Dr truc me dit qu'elle ne peut rien faire, qu'il lui faut une ordonnance de dentiste de ville pour faire quoi que ce soit et que seul le chu est habillé à faire des extractions dentaires. Je lui répond que c'est faux, à deux exceptions près, toutes les dents qui m'ont été otées à un moment où à un autre l'ont été par un dentiste de ville qui n'a pas sollicité l'hôpital. Elle me dit que c'est faux, que je ments. Je lui réponds que je suis mieux placée qu'elle pour dire la vérité étant donné que c'est ma vie, mon vécu, qu'elle n'avait pas été là lorsque cela s'est passé.
L'ancêtre du Lévothyrox était une solution naturelle appelée hormone thyroïdienne dont il existait 2 versions : l'une était extraite de cadavres humains et a provoqué des maladies mortelles chez un grand nombre de consommateurs jusqu'au scandale qui a conduit à retirer ce produit du marché officiellement, l'autre était extraite d'animaux et provoquait au minimum une forte pilosité. Cette hormone était censé remplacer celle fabriquée naturellement par la glande thyroïdienne, située dans la gorge, qui est activée par l'hypophyse et l'hypophyse a besoin d'iode entre autres pour fonctionner correctement ; L'iode est contenu en plus ou moins grande quantité dans un certain nombre d'aliments et la consommation courante d'aliments dans les bonnes proportions permet de réguler correctement l'activité de l'hypophyse et la production d'hormone thyroïdienne a condition de n'avoir pas été mutilé.e par des maniaques du bistouri. Les enfants qui ont un problème de croissance sont le plus souvent mal-nutris au sens propre du terme.
Le pédiatre qui a cédé à la mode de l'hormone de croissance m'a aussi prescrit des nutriments sous forme d'ampoules de jus de fruits bios et des produits laitiers en quantité suffisante, ce qui m'a permis de grandir et me développer normalement.
Mais le message était passé auprès de ma mère, qu'elle devait assurer ma prise en charge médicale et l'absorption de cette hormone médicamenteuse jusqu'à mon dernier souffle.
Le "Bilan de santé" piège pour les patients
Le Cresli, centre de bilan de santé de Limoges fait partie du club Archambeaud / commission de réforme façon rabatteur.
Depuis mon bilan de santé, je suis harcelée de courriers pour les dépistages de cancer, dispositif servant à recruter des clients pour ces prédateurs médicaux (Voir publication sur Servier).
Le Cresli effectue quelques examens pour statuer sur votre état de santé et vous orienter vets les praticiens adéquates.. officiellement.
L'électrocardiogramme imprimé montrait une défaillance importante, je ressentais comme un souffle au coeur, C'était l'époque où je consommais le fameux Levothyrox nouvelle formule. Le médecin qui résume par écrit l'examen écrit RAS rien à signaler.
L'examen du souffle montre une insuffisance respiratoire, le médecin écrit RAS.
Le médecin propose en complément un examen gynécologique que j'accepte. Mes muscles étaient tellement tendus d'autant qu'elle s'y prenait comme une brute.. Elle n'a pas réussi. Elle écrit qu'elle n'a pas pu le réaliser et conclut RAS. Lors de mon agressiion à Montreuil j'ai subi une mutilation sexuelle visible, elle m'affirme que tout est normal. Surprise de son aveuglement je lui demande si elle est sûre que ce qu'elle affirme est conforme à ce qu'elle a vu.
Elle commence à me faire une leçon sur l'anatomie sexuelle des femmes avant de réaliser qu'effectivement il "manquait quelque chose". Alors elle bredouille, devient confuse, s'assoit à son bureau et remplit un formulaire en cochant elle-même les réponses qui l'arrangeaient. Comme elle marmonnait, je n'ai pas saisi les termes employés et elle ne m'a pas soumis le formulaire pour accord.
La fac des sciences de Limoges et ses laboratoires de recherche au service du sordide.
La fac des sciences se trouve de l'autre côté du boulevard périphérique par rapport au quartier de la zup de l'Aurence (dont les chômeurs étaient envoyés à l'adresse de l'asile psychiatrique par le pôle emploi).
Tous les jours ou presque, le quartier était assommé d'ondes. Les même genre d'ondes ont été utilisées lors d'un job dating du pôle emploi jourdan (centre ville) au bâtiment d'accueil d'Ester Technopole le vendredi après-midi dédié aux demandeurs d'emploi des quartiers périphériques joliment appelés "diversité". Les organisateurs avaient poussé le vice jusqu'à faire fermer lors de cette demi journée le bar présent dans ce hall d'accueil (un gendarme participant à la manifestation a obtenu ces informations devant moi) et réserver aux occupants des stands les bouteilles d'eau. Intriguée je suis allée explorer les coulisses et trouvé le fameux laboratoire XLim.
Je suis allée faire un tour à la fac des sciences et trouvé un bâtiment de recherches XLim.
J'ai trouvé des précisions montrant l'utilisation d'ondes électromagnétiques pour "tester les effets sur le cerveau" et "sur les comportements humains"
https://www.unilim.fr/recherche/laboratoires/xlim/