31 mai 2025

Jean-Manuel Vuillaume, associé à Michel Caignet, animait le réseau pédopornographique Toro Bravo

Réseau Toro Bravo

2015 - #France - "Cette société de «cinéma» se trouvait à #Bogota dans un bordel, tenu par Jean-Manuel Vuillaume fondateur de Toro bravo.
Ce dernier proposa à son ami Michel Caignet éditorialiste et journaliste français, son resto-bordel pour le tournage de films et de séances photos que Caignet publiait dans ses (...) revues."

"Jean-Manuel Vuillaume sera arrêté à l’aéroport de Roissy au moment où il revenait d’un énième voyage en #Colombie suite à la perquisition dans son studio-bordel où la police découvrit de nombreuses photos pédocriminelles, ainsi qu’un petit habit de toréador utilisé pour l’un de ses films."

"Les originaux des films parvenaient à «La Mouette» l’une des sociétés d’édition de Michel Caignet à des prix allant de 3.500 à 5.000 francs." Un ami lillois de Caignet se chargeait de les dupliquer. Cela au rythme de 50 à 100 par mois. Prix de la copie (cassette vierge non comprise): 50 francs. Prix de vente au particulier: entre 200 et 300 francs.

Caignet est mis en accusation quatre fois pour des faits similaires (diffusion et vente d’image à caractère pédopornographique) entre 1994 et 1995, relaxé systématiquement par la justice.

"En 1987, Michel Caignet est mis en relation avec Nicolas Glencross par l’intermédiaire d’un autre ecclésiastique, le père Doucé (Voir l’article sur le pasteur Doucé) à qui Caignet proposera de faire de la publicité gratuite dans sa revue « Gaie France »."

"Le réseau pédocriminel Toro-Bravo fut une première fois attaqué par la justice française en 1990, quand on retrouva chez l’abbé Glencross plus de 30.000 images pédopornographiques, mettant en scène de jeunes enfants colombiens et péruviens dont certains étaient les enfants adoptifs de Glencross."

Le dossier "Toro Bravo" fut ré-ouvert en 1994, lors d’une perquisition chez Daniel Wailliez un parisien habitant au quai de Grenelle, cadre commercial dans une centrale d’achat, qui passa une annonce dans un  «journal gratuit»  en vue de relations sexuelles."
"La police fit la découverte chez lui de nombreux films dont certains de la production Toro Bravo, mettant en scène de jeunes garçons et filles colombiennes et péruviennes."

"Suite à cette perquisition plus de 700 personnes seront placées en garde à vue, mais seulement 72 comparaitront de 1995 à 1996 dont le réalisateur français Bernard Alapetite (de son vrai nom Philippe Desnous), Jean-Manuel Vuillaume et d’autres comme Marc-Marcel Agnès, Théodore Tangoulis, Patrice Noyelle ou Alain Zinniger, sans oublier Michel Caignet."

"Le dossier Toro Bravo s’entrecroisera avec le réseau #Zandvoort, lorsque des photos de Jean-Manuel Vuillaume furent retrouvées dans les fameux CD-Rom (photos signées par l’artiste)."

https://wantedpedo-officiel.com/toro-bravo-production-1-et-2__trashed/

+ "Sur renseignement anonyme, les enquêteurs s'étaient tout d'abord intéressés à une petite annonce dans un journal gratuit. Daniel Wailliez, son auteur, recherchait "des garçons pour exhibitionnisme et caresses", voire pour des séances de photos. Au cours d'une perquisition à son domicile, des revues (françaises et étrangères) à caractère pédophile étaient retrouvées. Un lot de deux cents photographies de jeunes garçons décrits "en position lascive", sexe en érection, réalisées par une société, Studio Vision 2 000, était saisi, ainsi qu'une dizaine de cassettes soit "naturistes", soit "érotiques - pornographiques", représentant notamment des jeunes se masturbant, pratiquant des fellations, voire ayant des rapports sexuels complets. La moitié provenaient de Colombie et étaient titrées : Orlando (1 et 2), Petit John (1 et 2), 5 × 18."
"Daniel Wailliez expliquait qu'il était entré en possession de ces enregistrements par l'intermédiaire de revues à caractère pédophile Gaie France Magazine, Gaie France, Complice et Gay Pavois."
https://www.lemonde.fr/archives/article/1997/06/18/la-justice-examine-les-filieres-d-un-reseau-pedophile-international_4418304_1819218.html

+ "C'est la découverte d'un listing de 2 300 noms, en novembre 1995, autour d'un trafic de cassettes pornographiques mettant en scène des enfants de Bogota, qui a permis à la brigade parisienne des mineurs de déclencher l'affaire, après l'arrestation de trois personnages clefs: Olivier Lechat, photographe spécialisé dans le nu; Jean-Manuel Vuillaume, qui paraissait sur le point d'organiser un réseau d'enfants semblable à ceux qui existent dans le Sud-Est asiatique; et, surtout, Michel Caignet. Bien connu des services de police, ce dernier diffuse des cassettes très spéciales, dont il faisait la publicité dans sa revue pour homosexuels - Gaie France magazine - qui, après avoir changé de nom plusieurs fois, est aujourd'hui interdite'"
https://www.lemonde.fr/archives/article/1997/07/02/de-la-prison-ferme-requise-contre-les-organisateurs-du-reseau-toro-bravo_4418317_1819218.html

+ "celui qui avait dupliqué quelque 400 des cassettes tournées en Colombie en 1994, Olivier Lechat, 36 ans, aujourd'hui directeur d'une galerie d'art à #Lille après s'être fait soigner pour ses penchants pédophiles, indique avoir éprouvé un « malaise » en regardant les cassettes."
https://www.letelegramme.fr/#aoh=16669462614161

"Pendant l'arrestation de Vuillaume, des unités de la Police Internationale (Interpol) ont effectué une descente dans son centre opérationnel, situé au 40, rue n°14-29, au nord de Bogota. Fouets, chaînes, menottes pour emprisonner le client, costumes noirs remplis de clous, photographies de torture sexuelle et toutes sortes d'objets pour pratiques sadomasochistes faisaient partie de la décoration unique d'une des pièces que le Français avait aménagées dans une discrète maison de Teusaquillo, Bogotá."
https://www.eltiempo.com/archivo/documento/MAM-637067
https://www.eltiempo.com/archivo/documento/MAM-322913

+ "MICHÈLE GANASCIA, substitut du procureur de Paris, a requis, lundi 30 juin, cinq ans de prison, dont deux avec sursis, et 100 000 francs d'amende contre Jean-Manuel Vuillaume, quarante-six ans, considéré comme la "tête pensante" du réseau de cassettes vidéo pornographiques Toro Bravo importées de Colombie, qui impliquent, selon l'accusation, des adolescents mineurs (Le Monde des 18, 19 et 25 juin). Contre Michel Caignet, responsable des éditions La Mouette qui diffusaient les cassettes en France par l'intermédiaire de revues spécialisées, elle a demandé cinq ans de prison, dont trois avec sursis, et 80 000 francs d'amende, et contre son "bras droit", Michel Caignet de #Cacqueray, gérant de la société éditrice du magazine Le Gay Pavois, trois ans d'emprisonnement, dont deux avec sursis, et 50 000 francs d'amende."
https://www.lemonde.fr/archives/article/1997/07/02/de-la-prison-ferme-requise-contre-les-organisateurs-du-reseau-toro-bravo_4418317_1819218.html

"LA 15e chambre correctionnelle de Paris a entendu hier les dénégations de Jean-Manuel Vuillaume, soupçonné d’être l’auteur des films Toro Bravo, mettant en scène de jeunes Colombiens sans doute mineurs."
*Maîtrise d’épistémologie, doctorat de philosophie esthétique sur le thème de la représentation du corps, licence de droit public, diplôme de sciences économiques, il lâche en 1990 son studio de photo d’art parisien, où il s’était fait une spécialité de la photo d'enfants nus." Vuillaume "je n'ai pas d'attirance pour les enfants, c'était seulement une opportunité commerciale".
https://www.humanite.fr/-/-/lauteur-presume-des-films-toro-bravo-nie-tout

"soixante-dix hommes, et une femme, libraire à Paris, sont jugés depuis le 16 juin par le tribunal correctionnel de Paris, pour avoir réalisé, diffusé et détenu des cassettes vidéo pornographiques à caractère pédophile."
https://www.liberation.fr/france-archive/1997/07/01/prison-ferme-requise-contre-les-chefs-du-reseau-toro-bravopour-les-acheteurs-de-videos-pedophiles-le_211841/

"Il (Vuillaume) est poursuivi pour avoir organisé lui-même le tournage dans une maison de prostitution qu'il possède à Bogota. Ce Français de 46 ans, également propriétaire d'une guest house à Bangkok, d'un restaurant au Cambodge et d'un bar «florissant» à Carthagène, en Colombie, revenait régulièrement à Paris."
https://www.liberation.fr/france-archive/1997/06/20/le-proces-du-reseau-toro-bravo-au-tribunal-de-paris-vuillaume-et-l-age-de-ses-jeunes-acteurs_209156/

"Dans les années 1980, parallèlement à ces organes de presse de mouvements militants, paraissent divers magazines, plus ou moins liés au militantisme pédophile, comme Palestra, dirigée par Jean-Manuel Vuillaume et François Valet, qui ambitionnait de « recenser les grandes figures culturelles de l’enfant » et propose à ses lecteurs « une synthèse agréable et divertissante sur l’enfant dans la culture »ou Gaie France (1986-1993), publiée par Michel Caignet et qui soutient pédérastes et pédophiles."
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_p%C3%A9dophilie

Jean-Manuel Vuillaume : ses oeuvres cinématographiques
https://data.bnf.fr/fr/see_all_activities/11928714/page1
Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation
Auteur(s) : Vuillaume, Jean-Manuel. Illustrateur Voir les notices liées en tant qu'auteur
Titre(s) : Liberté de jouir [Texte imprimé] / [photogr. de] Jean-Manuel Vuillaume
Publication : [Paris] (5 rue Pasteur, 75011) : les Ed. rares, [ca 1990]
Description matérielle : [52] p. : ill. ; 30 cm
Type : photographie

Films : "Jean-Manuel Vuillaume
Acteur
Jean-Manuel Vuillaume est acteur. Il est connu pour Les dents de ma mère (1991) et Portrait de Groupe (1985)."
Documentaire "Portrait de groupe"
avec la participation technique de Gabriel Matzneff 
https://m.imdb.com/fr/name/nm0904254/?ref_=nm_rvi_t_1



https://www.abebooks.fr/9782866600051/Deshabillez-vous-Vuillaume-Jean-Manuel-2866600053/plp

Jean-Manuel VUILLAUME Invitation au Vernissage Atelier Médic - Lot 306
Jean-Manuel VUILLAUME Invitation au Vernissage Atelier Médicis, Paris, 1er juin 1982 Gouache et gaze sur carton. Ex. original n°XXXIV, signé des initiales. 10 x 21 cm
https://www.giquelloetassocies.fr/lot/141826/22564852-jean-manuel-vuillaume-invitation-au-vernissage-atelier?search=&


Jean Manuel Vuillaume, Galerie Janssen
Affiche d'exposition
60 x 40 cm 
https://collindubocage.com/lot/112361/14857961?search=&

Strandjungen,Photos: Jean-Manuel Vuillaume - livre
https://fr.eurobuch.ch/livre/no/02d47d8c925cd6116f9da26985d9647d.html

Livre imprimé, français, 1987
Éditeur: JMV diff., Paris (5 rue de Médicis, 75006), 1987
https://search.worldcat.org/fr/search?q=au=%22Vuillaume%2C%20Jean-Manuel%22
https://www.mollat.com/Recherche/Editeur/0-712908/jmv-diffusion

Livres édités par Jean Manuel Vuillaume 

Vendus à la Librairie Mollat de Bordeaux :

https://www.mollat.com/Recherche/Editeur/0-712908/jmv-diffusion

- Les Belles innocentes

Illustrateur : Michel Eyraud

Éditeur(s) : JMV Diffusion

Photographies de jeunes fillettes. ©Electre 2025

24,39 €

- Natacha

Éditeur(s) : JMV Diffusion

Photographies d'une toute jeune fille. ©Electre 2025

24,39 €

- Dis-moi fillette

Éditeur(s) : JMV Diffusion

Dessins et photographies de petites filles. ©Electre 2025

18,29 €



30 mai 2025

Angleterre : Richard Huckle a utilisé l'église Baptiste pour approcher et violer plus de 200 enfants, en Malaisie.


#Angleterre - 2019 - Affaire Richard Huckle, reconnu coupable d'abus sexuel sur des enfants en Malaisie et au Cambodge, âgés de 6 mois à 12 ans, entre 2006 et 2014.

Huckle est tristement connu pour avoir agressé 200 enfants en Malaisie. Originaire d'une famille de la classe moyenne du Kent, Huckle était un jeune homme très pieux, dès ses études, fréquentant l'église chaque semaine.

Lors de ses nombreux voyages en Malaisie, à partir de 2005, et après s'y être installé en 2010, Huckle se présentait comme photographe indépendant ou professeur, voire même philanthrope, et toujours comme un homme très croyant soucieux d'aider les communautés pauvres. C'est ainsi qu'il gagnait la confiance des familles, pour mieux approcher les enfants. Pendant deux ans, il a vécu dans l'une d'elles, à Kuala Lumpur, participant aux festivités religieuses et aux événements sportifs du temple hindou du quartier, selon les habitants interrogés par des ONG à l'époque.

22 peines d'emprisonnement à perpétuité
En décembre 2014, alors qu'il rentrait à Londres pour passer les fêtes de fin d'année en famille, Richard Huckle avait été arrêté à l'aéroport de Gatwick. Une unité Argos de détectives australiens avait découvert ses activités dans une chambre cryptée sur le « Darknet », baptisée « Love room », où les membres échangeaient des images pédophiles et des conseils pour abuser sexuellement des enfants. Les enquêteurs avaient utilisé l'identité sur le Darknet d'un Australien placé sous les verrous pour confondre les autres membres de ce groupe."
https://www.leparisien.fr/faits-divers/grande-bretagne-un-pedophile-britannique-retrouve-tue-en-cellule-14-10-2019-8172561.php

+ "Ce qui est également devenu apparent pendant le procès, c'est l'ampleur des mesures prises par Huckle pour trouver des victimes, notamment en emmenant les enfants en excursion d'une journée depuis les orphelinats et en escortant les enfants à la maison après leur propre fête d'anniversaire. Huckle est même allé jusqu'à créer un registre de ses abus et se donner ce qu'il a appelé des « points Paedo » en fonction de l'ampleur des abus subis par chaque victime."
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Richard_Huckle

+ "Pour approcher ces enfants, ce jeune homme s’était engagé dans un groupe de religion baptiste. Le juge Peter Rook, qui dirigeait son procès, a déclaré : « Vous avez repéré et appréhendé des enfants et leur famille provenant d’une communauté démunie dans le but certain de les impressionner en tant que riche Occidental. ». Sur le dark web, il possédait un site où il partageait des vidéos de ses actes sexuels contre des Bitcoins. Il avait également publié un « e-book du pédophile », appelé « Pédophiles et pauvreté : un guide pour les amateurs d’enfants », dans lequel il partageait ses astuces pour arriver à ses fins."
https://www.letribunaldunet.fr/actualites/richard-huckle-tue-en-prison-pire-pedophile-britannique.html#google_vignette

28 mai 2025

Daech et les enfants : le conditionnement et l'exploitation par l'État Islamique


Description : "Depuis l’instauration de ce que le groupe terroriste appelle son ""califat"" en juin 2014, D**ch mène une politique systématique d’embrigadement d’enfants soldats. Les ""lionceaux du califat"", parfois de très jeunes enfants, sont contraints de rejoindre ses rangs, formant une nouvelle génération de jihadistes mis en scène dans les vidéos de propagande. En Irak, Sofia Amara, journaliste à l’agence Capa, en a rencontré certains, sortis de l’enfer de l'embrigadement. Ils racontent leur vie de jeunes combattants enrôlés de force, traumatisés par la violence des actes qu’ils ont commis. Ce reportage réunit des témoignages bouleversants montrant comment l'organisation terroriste traite les enfants issus des minorités, entre asservissement et exploitation sexuelle. Vendues ou échangées, des petites filles alimentent un marché aux esclaves au cœur de D**ch. Des réseaux de résistants s’organisent et tentent de sauver ces enfants prisonniers. Sofia Amara les a rencontrés et a suivi leurs opérations d'exfiltration. Qu’adviendra-t-il de cette génération perdue ? Doit-on traiter les enfants soldats comme des victimes ou des bourreaux ? Comment ramener ces enfants meurtris à la vie ?"
 Première Diffusion le 11/05/2017 Un film de Sofia Amara
https://www.youtube.com/watch?v=gUxSZ9hjqVE&t=226s

 Je lui disais "c'est juste une petite fille". Il répondait : "non, ce n'est pas une petite fille, c'est une esclave. Et elle sait très bien comment avoir des rapports sexuels."" Assurant que "ces rapports sexuels satisfont Dieu " confie-elle au New York Times qui consacre un long papier à la " théologie du viol " par l'État islamique.

https://madame.lefigaro.fr/societe/comment-letat-islamique-a-instaure-une-theologie-du-viol-140815-97771

"Les équipes de Grand Angle-7 jours ont rencontré au Kurdistan irakien des femmes yézidies enlevées au cours de l’été 2014 puis utilisées depuis comme esclaves sexuelles ou esclaves domestiques. Vendues au marché aux esclaves ou mises aux enchères sur les réseaux sociaux, elles connaissent l'enfer. "Il me disait 'notre religion accepte que l'on viole les yézidies, nous on est musulmans on a une vraie religion, vous vous n'en n'avez pas", confie Nayan."
https://youtu.be/HKt8JJgg_N4?si=KgqmR1ERYIva1yJk

"Des écoles du djihad ont été ouvertes dans les grandes villes tenues par Daech en Syrie et en Irak. L’Etat Islamique y entraîne des enfants à devenir de futurs combattants..
Ces apprentis soldats sont appelés « les lionceaux du Califat ». Parmi eux, des enfants emmenés par leurs parents, dont de nombreux Français, mais aussi des membres de minorités religieuses, kidnappés et radicalisés de force.
Plusieurs vidéos de propagande ont été diffusées, mais jusqu’à aujourd’hui aucun enfant passé par ces centres d’entraînement n’avait été interviewé à la télévision.
Rares sont ceux qui échappent à leurs bourreaux. Mais il y en a, et PAPILLON les a rencontrés. Plusieurs d’entre eux racontent leur calvaire et comment ils ont été entraînés sous la contrainte.
Parmi eux, Fahrad, 14 ans, et Sehrad, 10 ans, deux frères dont le retour à la vie est dur."
#Reportage​ #Documentaire
https://youtu.be/O7RnpDLiqoM?si=ezeDeZ6JTg9vIbkr

Chantage, manipulations, racket, corruption, banditisme, piratage, entrisme, lobbying, esclavage sexuel, conditionnement meurtrier, meurtres de masse, assassinats de familles entières pour soumission d'un seul membre.. Terrorisme 

01 mai 2025

France : harcèlements, eugénisme et abus de pouvoir des services médicaux et paramédicaux. Exemple à Limoges, autour de la Commission de Réforme de la Fonction publique territoriale.

La Commission de Réforme de la Fonction publique territoriale est composée de médecins de plusieurs spécialités, des généralistes, de salariés syndicalistes des services sociaux et d'élus du Conseil Départemental.

Ces médecins et praticiens para-médicaux sont "agréés" pour donner leur avis sur la santé de la personne examinée et son aptitude professionnelle.

Les médecins délivrent des prescriptions.

Les abus constatés :
- création d'un réseau de "rabatteurs" pour les médecins de cette commission, aux ordres, solidaires et complices.
- diagnostics abusifs
- prescriptions de surdoses systématiques
- corruption de laboratoires d'analyses pour obtenir des résultats conformes aux attentes des abuseurs.
- chantage aux soins, à la reconnaissance du statut handicapé et à l'accès à l'emploi.
- Fausses factures : facturation à la Sécurité sociale de soins ou de consultations qui n'ont pas existé.
- enregistrement de fausses informations dans le dossier du patient sans que celui-ci puisse y accéder pour les modifier ou les supprimer.
- refus de délivrer des certificats médicaux.
- dénigrement des patients qui se plaignent d'un ou plusieurs comportements cités ci-dessus.
- refus de prise en compte des plaintes des patients concernant les prescriptions ou les comportements.


Exemple : A Limoges, la Commission de Réforme de la Fonction Publique Territoriale et ses réseaux "rabatteurs"

Membres :
Le médecin endocrinologue, Dr Françoise Archambeaud

Le Dr Archambeaud promue chevalier de la Légion d'honneur JO 16/04/20217.
https://www.facebook.com/share/16TaiaRb82/

Ce Dr Archambeaud "gérait" les diagnostics d'obésité, de diabète, de problème thyroïdien...
Pour l'insuffisance thyroïdienne elle prescrivait le fameux Levothyrox nouvelle formule à l'insu de ses patients, sans les informer du changement de formule et sans tenir compte de la supportance ou non du traitement, avec une nette tendance à surdoser le traitement.

Or cette nouvelle formule a occasionné un procès au fabricant en raison de la gravité des effets secondaires, du manque total d'information à ce sujet et des conséquences sur la santé des consommateurs.

Un nombre important de patient (plusieurs centaines) soumis à ce traitement a subi une explosion de symptômes macabres.


Tous les médecins et intervenants para-médicaux de cette commission ont prétendu que les symptômes en question étaient dûs à une obésité qui justifiait la prescription.
Il s'avère que les traitements proposés étaient tous supposés faire maigrir les patients en leur coupant l'appétit, en les "dynamisant" façon dopage sportif.

Certaines prescriptions étaient encouragées pécuniairement : une commission sur les ventes était versée à chaque maillon de la chaîne contribuant à la délivrance du traitement.

"L'équipe" s'était vu confier par le Conseil Départemental de la Haute-Vienne la mise en oeuvre d'un dispositif annoncé fièrement par le Président Nicolas Sarkozy appelé "clinique de l'obésité" - en réalité, Sarkozy ne s'intéressait guère à la santé des personnes en surpoids, mais il souhaitait imiter le Président américain Barack Obama qui avait lui-même annoncé lors de son départ de la Présidence se consacrer à la lutte contre l'obésité aux États-Unis.
Il avait marqué son mandat par l'Obama Care qui était un lobbying auprès des gouverneurs et élus de chaque État pour qu'ils votent l'obligation pour les familles de classe moyenne de souscrire une assurance santé privée en vue de réduire le déficit des hôpitaux publics qui ne parviennent pas à faire payer les factures de soins aux bénéficiaires.

La Présidente du Conseil Général devenu Conseil Départemental Marie-Françoise Perol-Dumont (Parti socialiste) avait fait acte de candidature pour le projet obésité auprès du Président, espérant sans doute récolter quelques deniers supplémentaires pour son département. Il n'y avait aucune subvention à la clef (Sarkozy n'a pas l'habitude de mettre la main à la poche pour les autres, il a tendance à faire prendre en charge par les autres, le Qatar entre autres), mais... une prise en charge intégrale par la Sécurité sociale à condition... de mutiler les cibles : mon ex généraliste s'était étonné que je ne sois pas prise en charhe à 100% pour cette prescription et en consultant son manuel, avait constaté qu'il fallait avoir été opéré (ablation) pour bénéficier de cette prise en charge.
 Résultat : ablation industrielle de la glande thyroïde justifiant la prescription de la nouvelle formule de Levothyrox et dépendance assurée à la prescription.
Comportements de gang :
- Obligation de consulter son généraliste tous les 3 mois environ pour renouveler la prescription : s'assurer l'assiduité de la clientèle d'autant que la sécurité sociale ne rembourse intégralement que les visites chez le médecin "référent" enregistré dans son dossier médical ;
- Bilan sanguin tous les trois mois faisant apparaitre les taux tsh nécessaires à l'évaluation de la dose du traitement dans un laboratoire éventuellement complice de l'opération + cholestérol, triglicérides et glycémie qui sont des outils de pression et de chantage permettant la prescription éventuelle de traitements amaigrissants supplémentaires.
Pourquoi demander aux gens s'ils sont traités pour la thyroïde et leur poids avant le prélèvement ? (Désormais le médecin prescripteur inscrit lui-même le poids du patient sur l'ordonnance pour être sûr de garder le contrôle absolu) 
Le laboratoire n'interroge pas sur le ou les traitements suivis quels qu'ils soient, seulement sur le traitement thyroïdien. 
Le cardiologue vous examine et vous dit que vous n'avez aucun problème, que vous êtes en pleine forme et dicte un courrier sur son dictaphone pour votre généraliste dans lequel il dit que vous avez un problème d'obésité à prendre en compte.
- Chantage à l'emploi : Ma généraliste me harcèle pour que je suive le processus de cette "clinique de l'obésité" me disant que je ne pourrai pas trouver d'emploi tant que je serai "obèse", tiens tiens...
Il est temps que je précise que les vêtements que je porte sont de la taille 46-48 taille française et 50-52 taille internationale.
- la tricherie : le problème du poids : chez mon ancien généraliste membre de la Commission, j'ai pris 30 kg en 3 mois sur sa balance ; chez un cardiologue, je pesais 30 kg de moins que chez le généraliste en question, à la même période. J'avais fait un bilan de santé à la même époque et mon poids était le même que chez le cardiologue.
Ma nouvelle généraliste a ajouté 20 kg aux 30 kg de mon ex-généraliste, et ce poids est celui qui apparait chez tous les membres du réseau de cette commission.

Il existe des formes alternatives à ce traitement ; j'ai choisi cette solution. Mais ma généraliste tente de m'imposer le retour au Lévothyrox nouvelle formule à chaque visite et l'intégration au processus "clinique de l'obésité" et je refuse fermement à chaque fois.

L'ancien généraliste m'avait donc prescrit la nouvelle formule sans me le dire et niait comme les autres les effets secondaires spectaculaires de cette nouvelle formule. Moi je ne comprenais pas pourquoi soudainement j'avais d'énormes problèmes cardiaques, respiratoires, j'éprouvais des difficultés considérables à marcher, à monter les escaliers, à lacer mes chaussures et même à les enfiler, je perdais mes cheveux plus que j'ai d'habitude etc. Tous les médecins et leurs complices me disaient que c'était à cause de mon obésité. Seulement voilà, je suis sportive, j'ai fait du sport toute ma jeunesse ; dans mon logement précédent j'habitais au 7ème étage et je montais occasionnellement à pied, je marchais beaucoup et soudainement, en déménageant, je serais devenu obèse et impotente ? Évidemment j'ai refusé le diagnostic et cherché l'explication.

D'une part sur les réseaux sociaux j'ai vu que je n'étais pas là seule à me plaindre de ces effets secondaires soudains et colossaux, qu'il y avait un procès du laboratoire contre lequel une horde de patients avait porté plainte soutenus par une députée européenne et quelques personnalités connues ; des groupes constitués dans plusieurs régions de France participaient au procès avec des associations.

D'autre part j'ai découvert l'appartenance de cet ex-généraliste à la dite Commission de Réforme chapeautée par l'endocrinologue Archambeaud prescriptive et le psychiatre Lombertie de l'asile psychiatrique de la ville qui était l'employeur de certains membres de cette commission siégeant en tant qu'élus (PS) du Département chargés des services sociaux, un autre aspect sordide de cette affaire.

Le diagnostic "PSY" lié au diagnostic "OBÉSITÉ"
Dans le dispositif "clinique de l'obésité' il y a un aspect psy. Les victimes sont souvent considérées comme dépressives donc prises en charge par des psy partenaires du dispositif. Le diagnostic obésité les rend inapte au travail, les victimes font donc l'objet d'une reconnaissance de handicap "obésité", source de prise en charge sécurité sociale, d'indemnisation éventuelle pour "maladie longue durée" et cerise sur le gâteau ça les rend disponibles pour une utilisation multiple par les membres du réseau et leurs complices. 
Les "avantages" du cumul de diagnostics : en tant que handicapés, ils sont embauchés chez des employeurs subventionnés pour l'emploi de personnel handicapés (donc réseau d'employeurs complices) et logés par l'hôpital qui a passé des accords avec les bailleurs sociaux pour loger leurs protégés (facilités offertes aux diagnostiqués et priorité d'accès).

Ce qui m'amène au problème psy : le psychiatre de cette commission avait passé un accord avec le maire socialiste A.R. pour loger les personnes soignées par ses services dans des quartiers identifiés de la ville, identifiés par l'étiquette de la maladie psychiatrique hébergée dans ces quartiers : schozophrénie ici, épilepsie là, etc. Cet accord avait été publié dans la presse locale.

Le quartier sur lequel j'habite était dédié à la schizophrénie. 

Le Pôle emploi (ancêtre de France Travail me traitait comme une malade mentale, squizzait ou plantait toutes mes démarches, faisait des réflexions désobligeantes, me riait au nez. Un agent de l'agence du centre ville m'avoue que les demandeurs d'emploi de mon quartier sont envoyés vers une autre adresse. J'y vais voir : c'était une agence mitoyenne de l'asile psychiatrique ! Premier entretien, la nana me dit :vous êtes handicapée ? Je réponds non. Elle me dit "Vous n'êtes pas obligée de le dire." Alors j'insiste "non je ne le suis pas" et là je vois sur son écran qu'elle dé-coche la case "handicapé". Une autre fois, elle me dit que ma candidature d'agent administratif dans son agence n'a même pas été relayée par sa personne alors que c'est elle qui me l'avait proposée et elle me montre que toutes mes candidatures effectuées via le site de Pôle emploi n'ont pas été envoyées aux employeurs auteurs des offres : le conseiller doit cliquer sur chacune d'elle pour la valider et cela n'a pas été fait.

Voilà donc que j'étais traitée de ou comme schizo par un certain nombre d'interlocuteurs visiblement complices du stratagème municipal. Ce qui m'a mis sur cette piste, encore une fois, c'est le comportement de mon ancien généraliste membre de la commission qui a gravement dévié de celui que je lui connaissais avant l'affaire. Lors d'une consultation, il insistait pour savoir si je n'avais pas de problème particulier. Je lui dis que j'avais mal au dos ; c'était de la déshydratation, mais lui au lieu de me dire, comme il l'aurait fait auparavant, que c'était de la déshydratation et qu'il fallait que je boive de l'eau régulièrement, il me prescrit un antidouleur ; d'habitude il me prescrivait de l'efferalgan 250mg, il savait que je n'étais pas une grande consommatrice de médicaments et que je prenais généralement la dose minimale. Cette fois ci, il me prescrit un opioïde pour douleurs chroniques : Ixprim.
J'ai pris les produits prescrits à la pharmacie du quartier, aucun commentaire. Arrivée chez moi, je lis la notice car j'étais vraiment intriguée par cette prescription. Et là, oh surprise. Il était écrit noir sur blanc que ce médicament pris de façon prolongée et en prise compète (3fois par jour) provoquait des maladies mentales telles que la schizophrénie. Or si le médicament est prescrit pour des douleurs chroniques, ça induit une prise complète et quasi permanente.
Je ne l'ai pas consommé. Mon père qui habite un autre quartier était traité pour des douleurs post-opératoires avec un autre opïoide déclencheur d'épilepsie, je lui ai conseillé d'arrêter immédiatement ce traitement parce qu'il était dangereux pour lui, entre autres parce que mon père passe beaucoup de temps au volant de sa voiture, il fait parfois de longues distances pour se rendre aux réunions de son association ou de son parti politique, à Paris par exemple, et lorsque j'ai eu l'occasion de voyager avec lui, il a failli faire une crise d'épilepsie, il en avait les premiers symptômes, ce qui était inhabituel.
Le diagnostic obésité fait courir des risques en matière de prescription. 

Le Médiator, des laboratoires Servier, a lui aussi été prescrit exagérément dans le cadre de cette soi-disant lutte "contre l'obésité" : autre procès après quelques décès directement liés à ces prescriptions.

L'autre maladie à la mode qui aiguise les appétits est le diabète, Le Dr Archambeaud a entrepris de faire d'une pierre 2 coups en décrétant que les clients traités pour la thyroïde devait aussi subir le traitement du diabète ; elle ne recule devant rien pour assouvir ses appétits féroces.
Lors d'une hospitalisation forcée en 2012 ( mon père avait magouillé un truc avec une généraliste, Dr P., que j'avais consultée 1 fois, cette généraliste était restée injoignable, s'était radiée de l'ordre des médecins local et avait déménagé à Marseille où elle s'est réinstallée), je devais subir un re-dosage du traitement thyroïdien ; j'ai du mettre les choses au point avec le médecin interne de l'Hôpital chargé de cette mission, un garçon tout à fait charmant qui a pris en compte mon in-supportance du traitement jusque là prescrit, à savoir la fameuse nouvelle formule. Il a démarré le dosage à 2 mico-grammes quand la dose habituellement administrée est de 150 micro-grammes pour une femme adulte. Ça m'a beaucoup amusée. Bref, j'en reviens au diabète.En arrivant dans le service de séjour à l'hôpital, une infirmière me plante d'emblée une perfusion dans le bras en disant que c'était pour me réhydrater. Il semble que ce soit l'argument systématique. Je lui demande alors ce qu'il y avait dans cette perfusion, elle me répond que c'est du sucre. Calcul : on vous met du sucre en permanence dans le sang, on vous fait des prises de sang tous les jours, quel peut être le résultat ?
Je lui ai demandé de retirer cette perfusion immédiatement, elle a refusé en disant que c'était un ordre de son chef.. !? Qu'il lui fallait l'ordre d'un médecin pour la retirer. Le personnel change en fin d'après midi, je suis partie explorer pendant la nuit pour trouver un médecin dans le coin, les couloirs étaient déserts mais j'ai fini par en trouver un auquel j'ai demandé de me retirer cette perfusion ; il m'a répondu qu'il n'en avait pas le droit, que seules les infirmières sont habilitées à les retirer mais qu'il pouvait l'arrêter, alors je lui ai demandé de le faire et il l'a fait. Le matin l'infirmière était furieuse en voyant la perfusion arrêtée et elle s'apprêtait à la remettre alors je lui ai dit qu'elle n'avait pas le droit de la remettre puisque c'était un médecin qui l'avait arrêtée. Mais elle ne l'a pas enlevée. Plus tard je suis sortie de ma chambre et je me suis pris les pieds dans la perche qui est tombée, la poche s'est éventrée, alors l'infirmière me l'a enlevée et ne l'a pas remplacée. Je me suis arrangée pour sortir rapidement : je suis entrée le vendredi et suis sortie le lundi. Le service, que dis-je, la "cadre de santé" m'avait pris un rendez-vous d'office avec l'endocrinologue Dr Archambeaud environ 1 semaine après. 

Chez Archambeaud qui consulte à l'hôpital du Cluzeau, une fille du bureau voisin d'Archambeaud se plante sous mon nez, collée comme si elle voulait que je lui roule une pelle, me regarde dans les yeux et me dit "vous venez pour le diabète" je dis non, elle insiste, je répète non. A ce moment-là l'assistante d'Archambeaud m'appelle pour le rendez-vous ; Archambeaud me dit vous avez du diabète, je lui dis non, elle me dit énervée "c'est ce qu'on va voir" et sort les résultats d'analyses des prélèvements faits à l'hôpital pendant mon séjour. Surprise, il n'y a pas de diabète, c'est à dire pas suffisamment de sucre dans le sang pour justifier le diagnostic diabète. Elle embraye sur le traitement thyroïdien en disant qu'il fallait monter la dose de 150 à 200 micro grammes et là je prends un plaisir non dissimulé à lui expliquer que non, elle doit se conformer aux prescriptions de l'hôpital qui avait atteint les 12 microgrammes lors de ma sortie.
Très énervée, elle me demande ce que je veux, j'en ai donc profité pour changer de traitement.
Elle m'a donc prescrit le nouveau traitement.
Précision utile : depuis ce nouveau traitement, j'ai retrouvé ma forme physique, la capacité à marcher, monter les escaliers normalement.

Dans le dossier obésité, il y a aussi le mépris social, le mépris du patient. 
Dans l'imagerie populaire colportée par un certain nombre de sociétés dites savantes, les gros sont considérés comme débiles mentaux, comme les handicapés physiques d'ailleurs. Les gros sont moqués, méprisés, ridiculisés, agressés, infantilisés.
Aujourd'hui on appelle grossophobie et notamment grossophobie médicale le fait de s'en prendre systématiquement aux personnes n'ayant pas la taille mannequin. La taille mannequin, en réalité, peu de personnes l'ont. Le critère est de rentrer dans la taille 34 en vêtements, ce qui est rare.. et pour cause, les agences de mannequins recrutent des adolescentes et les affament, leur interdisent de manger, les terrorisent avec leur poids, leur interdisant de prendre 1 gramme, les rendent anorexiques de fait. Autre scandale d'ailleurs de mannequins rendus squelettiques qui sont morts d'anorexie dont une a fait une campagne médiatique sur le sujet. 
Il y a donc harcèlement mortel des personnes que ces calibreurs macabres qualifient d'obèses parce qu'ils ou elles ne rentrent pas dans leurs critères de taille mannequin.

Le psychiatre Lombertie a pris sa retraite de l'hôpital et s'est fait élire maire UMP de la ville ; lors de sa réélection il a coopté un collègue de l'asile et sa collègue Archambeaud sur sa liste et lui a attribué la responsabilité du "sport santé" aussi lié au dispositif obésité... bénéficiant des installations sportives municipales gratuites et de la prise en charge sécurité sociale pour la prescription des séances de sport..
L'ancien généraliste Dr Breillout a pris sa retraite mais a transmis le relai visiblement à ma généraliste actuelle Dr Demay Frachet, elle m'avait confié avoir été son élève et ne cacje pas son adhésion au réseau diagnostic obésité.

Mon ex conjoint travaillait pour la mairie depuis 20 ans en contrat précaire genre vacation. A notre retour de vacances en septembre 1999, il a la surprise désagréable de "n'être pas inscrit au planning de travail du service" le jour de son retour au travail, remplacé par un étudiant. Je lui ai donné la marche à suivre pour conserver son emploi. Il l'a conservé. Ensuite il a sollicité la Commission de Réforme de la fonction publique territoriale pour changer d'horaire, passer du travail de nuit au travail de jour. Son généraliste, le Dr Rouchaud de Couzeix, à l'époque subventionné par des laboratoires pour certaines prescriptions, devenu trésorier puis vice président de l'ordre des médecins de la Haute vienne, lui a fait un courrier pour démarrer la procédure et l'a envoyé au psychologue de la commission ; le psychologue lui a demandé de me rencontrer, nous y sommes donc allés ensemble la fois suivante et là, il lui dit que tous ses problèmes viennent de moi, qu'il doit se séparer de moi pour résoudre ses problèmes. Mon conjoint m'a donc demandé quelques jours après de quitter son logement avec mes affaires dans les plus brefs délais.
Je cherchais un emploi éventuellement sur Paris ; lors d'un déplacement pour des entretiens d'embauche, il m'a dit de rester à Paris et m'a menacée de me faire traiter de folle si je revenais, et il l'a fait. Il a ensuite démarré la procédure de divorce. Plus tard, sous la Prèsidence de Sarkozy, il m'a appelée sur mon téléphone fixe pour m'accuser d'être communiste avec des arguments qui ne tenaient pas debout ; il avait l'air d'avoir écrit son argumentaire et le lisait tel un robot. Il a récidivé quelques mois plus tard en débitant le même discours à la virgule près et de la même façon. Bref.
Il était sous anti dépresseurs à cause de la procédure de changement d'emploi pour justifier de la nécessité de changer d'horaire. Il disait souffrir d'amnésie. C'est un effet bien connu de ces traitements antidépresseurs psychotropes.
Lorsque je suis revenue, je suis allée le voir et il ne souffrait d'aucune amnésie en ma présence... mais dès qu'apparaissait Michèle Gayot, la trésorière de son association, il faisait semblant d'être amnésique et elle l'encourageait à ne se souvenir de rien de ce qui nous concernait ou concernait l'association avant son arrivée.

Ma mère consultait elle aussi l'ancien généraliste, le Dr Breillout qui lui avait prescrit des antidépresseurs en mon absence. Elle semblait sous emprise et se solidarisait avec ces médecins de la commission de réforme, Breillout et Archambeaud particulièrement. Mais elle a été grandement soulagée quand j'ai changé de traitement et repris une vie presque normale, presque parce que le confinement est passé par la et a stoppé toutes les activités antérieures. La dictature médicale autour des vaccins lui a fait prendre conscience de l'abus de pouvoir médical.global.
Petit rappel : pendant la pandémie : cabinets de généralistes fermés, ma généraliste me dit que si j'attrape le COVID la seule chose qu'elle fera c'est me prescrire du Doliprane 😵‍💫 ; le personnel du chu qui répète sur tous les tons de ne pas venir aux urgences, qu'ils ne peuvent pas soigner ; tous les rendez-vous de toutes les spécialités sont reportés aux calendes grecques, interventions annulées ; on vous contraint à vous faire vacciner mais les vaccins ne sont pas livrés ; on vous dit de porter des protections mais elles ne sont pas en vente, notre commune a demandé à des couturières amateurs de confectionner des masques en tissu à distribuer, le mien était taché de sang ; le personnel dans certains EHPAD et certains hôpitaux utilisaient des sacs poubelle de 100 litres pour se protèger ; Il était interdit de sortir de chez soi, de voir sa famille et ses amis, de faire ses courses ailleurs qu'au supermarché où l'on ne pouvait acheter que de la nourriture ; tous les clubs de sport avaient interdiction de fonctionner ; les écoles, collèges, lycées étaient fermés, les cours et devoirs de classe ne pouvaient parvenir aux élèves et professeurs que par internet à condition de disposer de la bonne application sur le bon équipement non fourni évidemment ; les transports en commun avaient cessé de fonctionner eux aussi ; il était interdit de sortir sauf pour promener son chien à condition d'en avoir un ; plus aucun service public n'était ouvert, il fallait faire ses démarches par internet à condition d'être équipé ; la poste parfois refusait de livrer les colis achetés par internet (y compris d'hygiène et autres équipements utiles) -Olivier Besancenot du NPA en a fait la démonstration sur Facebook- ; plus aucun accès public à internet pour ceux et celles qui n'auraient pas été équipés, tout était fermé.
Pour finir, si je puis dire, les équipements de protection du personnel mèdical dans les établissements de santé étaient fournis aux personnels de religion musulmane ayant fait allégeance aux organisations religieuses du golfe via Qatar Charity installé en France puis en Angleterre après sa dissolution par Darmanin mais poursuivant son prosélytisme sur Facebook.

Le diabète. Une fois de plus le Dr Archambeaud a trouvé des serviteurs zélés : le Lions club a été sollicité pour récolter des fonds afin de commettre un acte de mécénat médical : offrir la trousse à piquouze pour les enfants diagnostiqués diabétiques. L'opération récupération de bouchons en plastique lancée par Bigard il y a quelques années pour financer des actions humanitaires et de solidarité est récupérée par le réseau Archambeaud pour offrir en partenariat avec l'association Diab'heureux qui "aide" les enfants diabétiques, les enfants victimes de ce diagnostic. Et qui bénéficie de cette générosité macabre ? Les enfants des familles en difficulté économique... ainsi rentabilisés.

Documentaire Arte sur le diabète 
Le diabète, une maladie rentable.
https://fb.watch/nUNQUhzHM4/

"Tout médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme ou pharmacien ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d'être dû à un médicament, qu'il l'ait ou non prescrit ou délivré, doit en faire la déclaration immédiate au centre régional de pharmacovigilance."

Qui peut déclarer un effet indésirable ?
>> Les patients et associations de patients
Les patients ou leur représentant (dans le cas d’un enfant, les parents par exemple), les associations agréées que pourrait solliciter le patient, peuvent déclarer, auprès du centre régional de pharmacovigilance dont ils dépendent, les effets indésirables que le patient ou son entourage suspecte d’être liés à l’utilisation d’un ou plusieurs médicaments.
– En savoir plus sur la déclaration par les patients et associations de patients : signalement-sante.gouv.fr

"Les agences régionales mettent en place des permanences 24 heures sur 24, sept jours sur sept, pour que puissent être signalés et gérés des événements présentant un risque pour la santé..
Quels événements doivent être signalés à l'agence régionale ?
les situations de maltraitance ayant une conséquence directe sur la santé et la sécurité, notamment les violences physiques (coups, violences sexuelles, meurtres…) ou psychologiques ;
les défaillances techniques pouvant entrainer un risque pour la santé et la sécurité des personnes (telles que les pannes électriques par exemple).
Les incidents peuvent être signalés par téléphone ou par mail au service de permanence de l’agence."
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Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales
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Erreurs volontaires ou stratagèmes ?
J'ai consulté il y a 10 ans le Dr Eichler sur recommandation du Dr Archambeaud pour un diagnostic apnée du sommeil. J'étais censée me brancher la nuit pour respirer normalement ; le Dr Eichler m'a suggéré de me brancher le jour aussi, pendant 3 mois pour rééduquer ma respiration, je l'ai fait mais pas en permanence, j'ai appris alors que cette machine n'était que la première étape dans leur dispositif, ils voulaient "m'appareiller" en permanence, H24, que j'amène la machine en vacances. J'ai refusé. J'ai rendu la machine et cessé de consulter Eichler. Plusieurs années après, le cardiologue Dr C. qui m'a trouvé en pleine forme (j'avais changé de traitement) me questionne sur la machine Eichler, je lui explique, il a été d'accord avec moi.
Il y a quelques semaines, l'intubatrice de l'hôpital me demande ce qu'il en est de cette machine, je lui explique que l'expérience a été close au bout de 3 mois à l'époque. Je me suis donc demandé ce qu'il y avait dans mon dossier "interne" au chu.
Je partageais ma chambre avec une dame résidant habituellement en EHPAD qui faisait une crise de panique parce qu'elle n'avait pas sa machine à respirer dont elle se sert quotidiennement à l'Ehpad alors qu'elle n'avait aucun problème d'essoufflement.

Je trouvais cette personne vaseuse quand elle est arrivée. Au petit déjeuner elle avait 14 médicaments à avaler, même les infirmières étaient étonnées et trouvaient cela suspect. Parmi les médicaments il y avait des antidépresseurs Xanax... un produit dont l'usage chronique est déconseillé.

En 2016 j'ai été opérée en urgence à l'hôpital de la mère et de l'enfant.
1 - Ma mère appelle SOS médecin qui lui dit d'appeler illico le samu ; le service d'urgence téléphonique la balade, le médecin prend le combiné et leur donne l'ordre d'envoyer une équipe aussitôt et le samu arrive avec les pompiers.
2 - Ils appellent une ambulance pour le transport capable de transporter un personne "obèse" parce que les informations dont ils disposent sont celles du réseau de la Commission de Réforme, en l'occurrence le poids implémenté de l'ancien généraliste...
3 - Après le réveil, personne ne veut m'informer de ce qu'ils ont fait lors de cette opération, en quoi elle consistait.
4 - Lors de la visite post opératoire, le gynécologue censé avoir opéré ne veut rien me dire. Je réclame mon dossier, il refuse de me le remettre et me dit qu'il l'envoie à ma généraliste.
5 - Ma généraliste explique à ma demande en quoi consistait l'opération et me dit que nous avons du en parler avec le gynécologue lors des consultations pré-opératoires puisque le dossier mentionne que je suis suivie dans son service mais elle refuse de me le donner pour que je vous ce qui y est écrit précisément.
6 - Je lui réponds que je n'ai jamais consulté ce gynécologue ni avant ni après et elle me réponds en gros que je suis folle, que je ments et que je ne sais pas de quoi je parle, que ce dossier mentionne ce suivi donc c'est moi qui raconte des histoires.

Opérée en urgence au CHU en 2023 pour un abcès, le service me propose un rendez-vous en odontologie pour soi disant extraire une dent et me proposer un appareil pour les dents manquantes. F de g ! Consultation : le Dr truc prétend savoir mieux que moi par qui j'ai été opérée, me donne des informations fausses et utilisé un faux cliché sensé justifier qu'on m'arrache le reste des dents encore présentes... Identique à celui du centre de soins dentaires hébergé par la Sécurité sociale avenue Jean Gagnant où les praticiens ne soignent pas mais arrachent tout ce qu'ils peuvent pour fourguer des prothèses de faćon systématique sans jamais les délivrer aux clients d'ailleurs, ils trouvent toujours un prétexte pour ne pas le faire.
Le plus troublant c'est que à l'accueil du service odontologie du chu on me demande de faire une radio panoramique dans le service dédié avant de rencontrer le Dr Truc qui reçoit le résultat de l'examen sur son écran d'ordinateur, mensonge grossier, donc, et radio bidon aussi semble+t-il.
Là, le Dr truc me dit qu'elle ne peut rien faire, qu'il lui faut une ordonnance de dentiste de ville pour faire quoi que ce soit et que seul le chu est habillé à faire des extractions dentaires. Je lui répond que c'est faux, à deux exceptions près, toutes les dents qui m'ont été otées à un moment où à un autre l'ont été par un dentiste de ville qui n'a pas sollicité l'hôpital. Elle me dit que c'est faux, que je ments. Je lui réponds que je suis mieux placée qu'elle pour dire la vérité étant donné que c'est ma vie, mon vécu, qu'elle n'avait pas été là lorsque cela s'est passé.

L'ancêtre du Lévothyrox était une solution naturelle appelée hormone thyroïdienne dont il existait 2 versions : l'une était extraite de cadavres humains et a provoqué des maladies mortelles chez un grand nombre de consommateurs jusqu'au scandale qui a conduit à retirer ce produit du marché officiellement, l'autre était extraite d'animaux et provoquait au minimum une forte pilosité. Cette hormone était censé remplacer celle fabriquée naturellement par la glande thyroïdienne, située dans la gorge, qui est activée par l'hypophyse et l'hypophyse a besoin d'iode entre autres pour fonctionner correctement ; L'iode est contenu en plus ou moins grande quantité dans un certain nombre d'aliments et la consommation courante d'aliments dans les bonnes proportions permet de réguler correctement l'activité de l'hypophyse et la production d'hormone thyroïdienne a condition de n'avoir pas été mutilé.e par des maniaques du bistouri. Les enfants qui ont un problème de croissance sont le plus souvent mal-nutris au sens propre du terme.
Le pédiatre qui a cédé à la mode de l'hormone de croissance m'a aussi prescrit des nutriments sous forme d'ampoules de jus de fruits bios et des produits laitiers en quantité suffisante, ce qui m'a permis de grandir et me développer normalement. 
Mais le message était passé auprès de ma mère, qu'elle devait assurer ma prise en charge médicale et l'absorption de cette hormone médicamenteuse jusqu'à mon dernier souffle. 

Le "Bilan de santé" piège pour les patients
Le Cresli, centre de bilan de santé de Limoges fait partie du club Archambeaud / commission de réforme façon rabatteur.
Depuis mon bilan de santé, je suis harcelée de courriers pour les dépistages de cancer, dispositif servant à recruter des clients pour ces prédateurs médicaux (Voir publication sur Servier). 

Le Cresli effectue quelques examens pour statuer sur votre état de santé et vous orienter vets les praticiens adéquates.. officiellement.
L'électrocardiogramme imprimé montrait une défaillance importante, je ressentais comme un souffle au coeur, C'était l'époque où je consommais le fameux Levothyrox nouvelle formule. Le médecin qui résume par écrit l'examen écrit RAS rien à signaler.
L'examen du souffle montre une insuffisance respiratoire, le médecin écrit RAS.
Le médecin propose en complément un examen gynécologique que j'accepte. Mes muscles étaient tellement tendus d'autant qu'elle s'y prenait comme une brute.. Elle n'a pas réussi. Elle écrit qu'elle n'a pas pu le réaliser et conclut RAS. Lors de mon agressiion à Montreuil j'ai subi une mutilation sexuelle visible, elle m'affirme que tout est normal. Surprise de son aveuglement je lui demande si elle est sûre que ce qu'elle affirme est conforme à ce qu'elle a vu.
Elle commence à me faire une leçon sur l'anatomie sexuelle des femmes avant de réaliser qu'effectivement il "manquait quelque chose". Alors elle bredouille, devient confuse, s'assoit à son bureau et remplit un formulaire en cochant elle-même les réponses qui l'arrangeaient. Comme elle marmonnait, je n'ai pas saisi les termes employés et elle ne m'a pas soumis le formulaire pour accord.

La fac des sciences de Limoges et ses laboratoires de recherche au service du sordide.
La fac des sciences se trouve de l'autre côté du boulevard périphérique par rapport au quartier de la zup de l'Aurence (dont les chômeurs étaient envoyés à l'adresse de l'asile psychiatrique par le pôle emploi).
Tous les jours ou presque, le quartier était assommé d'ondes. Les même genre d'ondes ont été utilisées lors d'un job dating du pôle emploi jourdan (centre ville) au bâtiment d'accueil d'Ester Technopole le vendredi après-midi dédié aux demandeurs d'emploi des quartiers périphériques joliment appelés "diversité". Les organisateurs avaient poussé le vice jusqu'à faire fermer lors de cette demi journée le bar présent dans ce hall d'accueil (un gendarme participant à la manifestation a obtenu ces informations devant moi) et réserver aux occupants des stands les bouteilles d'eau. Intriguée je suis allée explorer les coulisses et trouvé le fameux laboratoire XLim.
Je suis allée faire un tour à la fac des sciences et trouvé un bâtiment de recherches XLim.
J'ai trouvé des précisions montrant l'utilisation d'ondes électromagnétiques pour "tester les effets sur le cerveau" et "sur les comportements humains"
https://www.unilim.fr/recherche/laboratoires/xlim/
https://www.unilim.fr/recherche/laboratoires/

Les unités d’OmegaHealth sont reconnues pour un certain nombre de spécificités :
infection et immunité sous immunosuppression* ; cancer ; neurosciences et handicap.
https://www.unilim.fr/recherche/laboratoires/omegahealth/

* L'exposition aux ondes électromagnétiques provoque la perte d'immunité donc de résistance aux infections,virus et maladie

Les soutiens constatés : 
Brigitte Brozio, écologiste, apporte son soutien publiquement au Dr Françoise Archambeaud sur Facebook ainsi que beaucoup d'autres écologistes parisiens. Il semble que Françoise Archamneaud-Mouveroux  appartienne à une association féministe qui organise l'hébergement de femmes victimes de violences.